« La Loi, c'est moi ! » Nom : Frère Victor Sarne Race : Humain Classe : Lame de bataille 2 / Croisé 2 Alignement : Loyal neutre
Le Frère Victor est un homme bien bâti d’une trentaine d’année bien que son visage marqué par une vie rude lui fasse paraître plus vieux. Des cheveux noirs de jais, des yeux bleus encerclés d’un regard ferme et une mâchoire bien dessinée lui procurent un charme magnétique. Il inspire le respect et affiche une noblesse dans l’âme qu’il n’a pas en son sang. Il arbore fièrement les emblèmes de son ordre sur son bouclier et son armure. Seuls certains érudits en connaissent la signification, mais cela lui a déjà suffit à avoir quelques ennuies, notamment avec les serviteurs fanatiques de Baine.
Victor est obnubilé par la justice, ou plutôt ce qu’elle devrait être selon lui. Il suit un code de conduite alliage de loi, morale et de préceptes religieux. Il n’aura pas peur de s’en prendre à une personnalité importante s’il estime l’action nécessaire, bien qu’il commence à s’assagir et se modérer. En un sens- et même s’il ne l’avouera jamais - il apprécie particulièrement se mettre en conflit avec ceux qui se croient intouchables. Il est généralement seul, mais il accepte volontiers l’aide de quiconque ayant la même vision que lui. Victor fait alors preuve d’aptitudes à diriger à et fédérer ses équipiers impressionnantes. Les autorités civiles en dehors du gouvernement idahien apportent peu de légitimité à ces prouesses de bon saint-Maritain malgré le soutient du clergé de Pélor et parfois d’autre divinités, lorsqu’ils y trouvent un intérêt. Sa foi est un pilier soutenant un pan entier de sa vie, et appartenir aux serviteurs de Saint-Cuthbert est pour lui un honneur. Il y trouve le soutient et l’inspiration dont il a besoin pour surmonter les épreuves sur sa route.
Background :
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Victor naquît dans une ferme idahienne au sein d’une grande fratrie dont sept de ses membres atteignirent l’âge adulte. Il en fut le cadet mais apprit à oublier les préoccupations infantiles pour s’élever à celui de ses deux frères. Ses rapports avec eux fut très divergents, admiratif pour le premier et conflictuel avec le second. Le plus âgé, Pierre, fut en effet un véritable modèle pour Victor. Pierre eut de nombreuses fois le courage de s’opposer à leur père et à ses « corrections » et de prendre l’épée de la famille pour défendre la ferme des maraudeurs ou des bêtes sauvages. C’était donc lui qui assurait la protection des terres. Peu de gens s’intéressaient aux payants, premières victimes des conflits entre seigneurs, si ce n’est pour collecter les récoltes ou bien les impôts écrasant. Une exception avait cependant eut lieu lors d’une sécheresse importante. Un prêtre adorant Pélor vint soutenir certains producteurs et prier pour eux. Son allure, sa sagesse et ses paroles l’éblouir totalement. Cet homme de foi dont il ignora toujours le nom l’impressionna au point qu’il s’intéressa de plus en plus au culte et aux préceptes religieux, et il fut avec Pierre les figures qui l’inspirèrent jusqu’à ce jour.
La situation se dégrada lorsque Pierre décida de partir pour s’engager à l’armée contre l’avis général et que son père décéda peu après. Ses quatre sœurs toutes mariées laissèrent leurs époux s’occuper des exploitations segmentant la ferme initiale et l’annexant à la leur. Victor et son frère furent peu à peu évincés de leur héritage. Victor en profita pour suivre l’exemple de Pierrre. A la capital, il n’intégra pas l’armée, mais Le Guet, bien plus simple d’accès pour les jeunes roturiers novices au maniements des armes. Il patrouilla donc de jour comme de nuit les ruelles les plus mal famées pour surveiller et protéger la population. Ce fut là qu’il apprit tout ce qu’il devait savoir pour se battre et se défendre, et qu’il eut la première atteinte de son idéal encore naïf. Il surprit une nuit deux de ses supérieures hiérarchiques facilitant des trafiques pour la pègre locale. Victor n’hésita pas une seconde avant de les interpeller, et une rixe eut lieu. L’un des supérieures fut très grièvement blessé, le second ainsi que certains criminels étaient seulement amochés. Les charges d’accusation contre Victor furent assez lourdes pour le faire passer plusieurs années en prison où il eut le temps de penser que personne ne devrait être au dessus des lois. Il profita de ces moments pour suivre des cours de théologie. Il prit connaissance de la vie de Saint-Cuthbert, et décida de suivre son exemple.
Ne pouvant se fier aux hommes pour faire respecter la justice, il se tourna vers les dieux et devint membre du clergé de Pélor et admirateur de Saint-Cuthbert. Victor développa son esprit et son corps pour rejoindre un ordre militaro-religieux policé lui permettant de faire avec la bénédiction des prêtres ce qu’il à toujours voulu faire ; appliquer la loi et justice pour ce qui en ont besoin au nom d’une cause plus grande, celle des dieux ! Les tensions géo-politiques s'aggravaient de plus en plus pour le pays de Victor, mais il refusa de partir faire la guerre contre une autre nation. Selon lui, la volonté de défendre sa terre et les intérêts de son peuple était noble, mais qu'il valait mieux de faire place nette chez soi avant de le faire chez les autres. De plus il avait du mal à croire à la propagande des affiches et crieurs ou tambours de rue. Les norcoeurs avaient-ils réellement tués et ravagés aussi froidement ? N'était-ce pas simplement une histoire de pouvoir économique ou territorial, comme toujours ?
Le Frère Victor ne cessa pas de créer des scandales à la capital en s’attaquant aux nobles et bourgeois qui profitaient de leurs positions pour enfreindre les lois ou la morale. La corruption et le crime ne disparut pas, mais il fut cependant acteur d'un recul notable. Bien que parfois accusé d'être un espion norcoeur et subissant occasionnellement des représailles d'hommes de mains, il continua obstinément son oeuvre. Certains chefs religieux embarrassés ne firent cependant pas preuves d'une si grande inflexibilité et écoutèrent leur amis véreux du gouvernement en incitant Victor à se refréner ou du moins à être un peu moins flamboyant dans ses actions, ce qu’il fit à grande peine dans un premier temps. Peu à peu il se mit à parcourir le pays accomplissant son œuvre où il le pouvait.
Il ne rata presque jamais ses interventions. On dit qu'il était inspiré par Saint-Cuthbert lui-même quant aux choix des tours de gardes ou de suivre les bonnes pistes. Parfois il devait sa réussite à la simple chance comme par exemple "L'Effraction de la demeure Letho". Un parvenu dans la noblesse d'Idahos, un dénommé Letho, était suspecté de trafique de contrebande. Une enquête de plusieurs mois fut établie par Victor et quelques hommes de confiance sur une propriété en province. Alors qu'ils surveillaient la demeure supposée vide, ils remarquèrent du tumulte. Ils firent une intervention et surprirent des individus ayant fait leur travail en sortant les contrebandes de leurs cachettes. Bien que les criminels ont réussi à prendre la fuite, Frère Victor effectua ainsi la "perquisition" dans la demeure.
Il entendit parler du Cataclysme. Un tremblement de terre, une tempête énorme, un acte de sorcellerie ou encore un châtiment divin selon le peuple. Depuis un bon moment déjà, Frère Victor entend parler des Terres Scellés à chaque conversation qu'il entame avec les nobles de la ville ou ses frères d'armes. Les premiers vantent l'opportunité d'y acquérir des terres et du pouvoir, tandis que les second y vois l'occasion d'y exercer leur bravoure et prouver leur foi envers l'ordre. En effet, l'état idahien offre une prime et des droits de propriétés à tous ceux qui partent s'installer dans les Terres Scellés en son nom. Les mercenaires qui cherchent à devenir des seigneurs sont les premiers tentés. Plus d'une fois, Victor a été incité à y aller même par ses plus proches. Que ce soit par ses frères d'armes qui souhaitent défendre les opprimés là bas ou par certains hommes de pouvoirs qui veulent l'éloigner de leurs affaires. Victor ne s'y précipita cependant pas car il n'était pas intéressée par des terres ou de l'or et refusait de participer en un premier temps à cette "ruée vers le pillage" et la colonisation d'un territoire en deuil. L'idée lui traversa cependant l'esprit alors qu'il regardait se bousculer les nobliaux avides de plus de richesses et leurs "porte-lames" qui feront le travail à leur place. Il se dit en effet qu'il serait peut-être moins mauvais qu'eux...
La décision fut prise lorsqu'il en appris d'avantage sur les conditions plus que précaires des survivants, et l’anarchie avait semble-t-il prit place, laissant batailles, affamés, morts et pillages de sanctuaires et anciens temples redécouverts. Un motif plus personnel se présentait également. en effet, il entendit parler de Pierre, son frère qu'il n'avait pas vu depuis une vingtaine d'année, serait soigné de blessures dans un fort tenu par des idahiens. L'arrivée de Frère Victor au Fort y était attendue. Le duc ayant été mis au courant du décret annoncé au sujet de la prime avant même qu'il n'ai quitté la capitale.
Victor en apprit plus sur la situation. La zone se trouvait sous contrôle, mais quelque part dans un gouffre, des survivants de tous bord continuent de cohabiter et finiront par se retourner les uns contre les autres si rien n'est fait. Victor va donc rejoindre l'expédition dans l'espoir de retrouver les survivants et les guider vers la surface.
For 14(+2), Dex 12(+1), Con 15(+2), Int 10(+0), Sag 10(+0), Cha 12(+1).
INI+1 VD.6m/3c (9m de base) PV 52; Réserve de dégât de 5 CA 19 (Crevice +6 + écu acier + 2 ) dépourvu 19 / contact 11
Ref+ 2 ( 0 + 1 mod int ou niveau lame de bataille + 1 mod charisme croisé) Vig+ 7 ( 6 + 1 mod charisme avec Croisé) Vol+ 1 ( 0 + 1 mod charisme avec Croisé)
(épée longue)ATT+7; DG 1d8+2 (+1 si dégât subit au tour précédant); 19-20x2 (Dague)ATT+6; DG 1d4+2 (+1 si dégât subit au tour précédant); x# (Mode z)ATT+#/+#
Don Don humain : arme de prédilection (épée longue) Don ni 1 : Incrédule Don niv 3: Dos au mur
Manœuvre et posture :
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Une manœuvre est un effet unique qu’un adepte martial accomplit. On peut assimiler une manœuvre comme le lancement d’uns sort. Cependant, un adepte martial ne va pas dépenser ou utiliser ses manœuvres pendant son voyage d’aventurier comme les lanceurs de sorts. Il débutera les rencontres (ou combats) avec toutes ses manœuvres prête à être utilisées. Lorsqu’un adepte martial initie une manœuvre, ce n’est que temporairement dépensé, jusqu’au moment où il décide de faire une action spéciale afin de récupérer la manœuvre dépensée. Ce type d’action nécessaire dépend et est différente pour chaque classe. Une posture est une sorte spéciale de manœuvre. Chaque posture est une pose de combat spéciale qui octroie à l’adepte martial des bénéfices et des options spéciales. Par exemple la discipline Griffe de tigre enseigne des postures qui déverrouillent la nature animale et sauvage de l’utilisateur. Contrairement aux manœuvres, la plupart des postures sont accessible à tout temps sans devoir les préparer. Un personnage peut utiliser, changer de posture en une action rapide.
La lame de bataille peut préparer les trois manœuvres qu’il connait au niveau 1 mais aux niveaux suivants, il devra choisir quelles manœuvres il désire préparer. Il prépare ses manœuvres en faisant des exercices pendant cinq minutes. Les manœuvres qu’il choisit ainsi seront prêtes à être initiée jusqu’à ce qu’il refasse des exercices pour en changer. Il ne devra pas passer un moment de repos ou de sommeil pendant une période de temps afin de préparer les manœuvres, puisque les 5 minutes d’exercices de préparation sont suffisantes à préparer ses manœuvres. La lame de bataille commence un nouveau combat avec toutes ses manœuvres non dépensées, indépendamment du nombre de fois déjà dépensés ultérieurement depuis qu’il les a choisit. Lorsqu’il initie une manœuvre, il la dépense lors du combat. Donc chaque manœuvre n’est utilisée qu’une seule fois par combat (jusqu’à ce qu’elle soit à nouveau préparée voir ci-dessous). La lame de bataille peut récupérer ses manœuvres dépensées au prix d'une action rapide qui doit être immédiatement suivie dans le même round avec une attaque de corps à corps ou une action simple et rien d'autre au cours de son round. La lame de bataille ne peut pas initier un manœuvre ou changer une posture pendant qu’il est en situation de préparation de manœuvre,. La lame de bataille ne peut pas initier un manœuvre ou changer une posture pendant qu’il est en situation de préparation de manœuvre, mais il peut rester en posture dans laquelle il était en commençant le round.
http://www.gemmaline.com/warblade.htm#6Aptitude des armes : Les exercices constants avec une variété d’armes procure à la lame de bataille une grande aptitude et compétence proche du don. Il pourra donc dès lors choisir des dons de guerrier d’un niveau - 2 en tant que lame de bataille. Par exemple, en tant que lame de bataille de niveau 6, le don de Spécialisation martiale (qui nécessite niveau 4 de Guerrier) lui sera accessible. En cas de multiclassage avec guerrier, les niveaux s’additionnent. Donc un guerrier 2/ lame de bataille 4 aura le droit à Spécialisation martiale en don de niveau 4 guerrier. La lame de bataille a aussi une grande flexibilité dans le choix de ses armes. Donc chaque matin, il peut passer une heure d’exercice et d’entrainement avec une nouvelle arme. Dès lors les dons concernant les armes seront réactualisés avec la nouvelle arme choisie. Il est nécessaire à la lame de bataille d’avoir fait son entrainement matinal avec la nouvelle arme choisie. Par exemple s’il souhaite changer l’arme désignée pour le don Arme de Prédilection, d'Épée bâtarde à Épée longue, il doit avoir son épée pour l’entrainement. La lame de bataille pourra ainsi changer l’arme de n’importe quel don qui s’y applique, mais devra les ajuster tous de la même manière. Par contre, il ne pourra pas changer les choix des armes si les dons supplémentaires qu’il possède demandent des conditions non remplies. Par exemple s’il a deux dons l’un étant Arme de Prédilection (Épée longue) et Spécialisation Martiale (Épée longue) il ne pourra pas changer Arme de Prédilection pour Épée batarde, à moins qu’il ne change Spécialisation martiale de la même façon.
http://www.gemmaline.com/warblade.htm#7Esquive instinctive : Au niveau 2, la lame de bataille peut réagir instinctivement avant même que ses sens ne décèlent une menace. Il conserve son bonus de Dextérité à la CA même s’il est pris au dépourvu ou attaqué par un adversaire invisible (il perd toujours ce bonus s’il est immobilisé). Si une lame de bataille possède déjà cette aptitude grâce à une autre classe (comme dans le cas d’un lame de bataille possédant au moins 4 niveaux de roublard), il obtient l’esquive instinctive supérieure (voir ci-dessous) au lieu de l’esquive instinctive.
Croisé : Note pour le MJ. Je connais 5 manœuvres pour le croisé. Cependant je peux les faire qu'au fur et à mesure des rounds (2 choisis aléatoirement puis 1 chaque round). Je vais les numéroter pour lancer 2d5 en même temps que mon jet d'initiative à chaque nouveau combat. Le croisé à aussi une "réserve de dégât" de 5. Ca veut dire qu'il faut retirer 5 point de dégâts à chaque attaque, ceux-ci seront appliqué au round suivant. Avec contre-attaque furieuse, j'ajoute le montant de la réserve (divisé par 5... donc que 1) à mes dégâts. Je les indiquerai en HRP à mes posts, tu n'as pas à t'en occuper. Manœuvres : 1 - diriger l'attaque 2 - os de pierre 3 - Frappe du croisée 4 - frappe de l'avant garde 5 - Charge du minotaure
Le croisé peut apprendre les cinq manœuvres connues au premier niveau, mais au cours de ses niveaux supérieurs et l’apprentissage de ses nouvelles manœuvres, il doit choisir quelles manœuvres préparer. Il prépare ses manœuvres en priant pour 5 minutes/ Les manœuvres choisies resteront prêtes jusqu’à ce que le croisé décide de prier et les change. Il n’aura pas besoin de dormir ou se reposer pour une période donnée pour pouvoir préparer ses manœuvres. Seules les 5 minutes de prières suffiront pour la préparation. Il commence tout ses combats avec les manœuvres préparées, indépendamment des combats précédents et de leurs utilisations antérieures. Lorsqu’il initie une manœuvre, le croisé la dépense pour le combat en cours, donc chaque manœuvre ne pourra être utilisée qu’une seule fois par rencontre (à moins de les préparer à nouveau comme précisé ci-dessous). Un croisé est unique parmi les adeptes martiaux, comptant sur des flashs d'inspiration divine pour utiliser ses manœuvres. Il n'a donc pas un plein contrôle sur ses manœuvres préparées. Avant que le croisé n'effectue la moindre action dans le combat, deux de ses manœuvres prépares lui sont conférées, sélectionnée aléatoirement. Les autres sont considérées comme retenues. A la fin de chacun de ses tours, une des manœuvres retenues devient conférées pour le croisé. Il ne peut initier que les manœuvres qui lui sont conférées, et aucune manoeuvre retenue. Le croisé peut décider d'initier aucune manoeuvre, les gardant pour les rounds suivants et recevra tout de même une manoeuvre retenue en tant que conférée. A la fin d'un tour où le personnage n'a plus aucune manœuvres retenue, toutes les manœuvres dépensées sont à nous préparées et retenues et deux d'entre elles sont considérées conférées, et le processus continue jusqu'à la fin de la rencontre. Un croisé commence une rencontre avec une manoeuvre conférée supplémentaire au niveau 10 (pour un total de 3) et une seconde supplémentaire au niveau 20 (pour un total de 4).
Résolution d'acier (Ext). Un croisé est capable via sa résolution et sa concentration extrême de ne pas tenir compte de la douleur et des blessures. Lorsqu'il est frappé, la blessure ne l'affecte pas de suite. Le croisé possède une réserve de dégâts retardés qui lui permet de passer outre certaines blessures pendant un moment. Cette réserve commence à 0 à chaque début de rencontre. Lorsque le croisé est attaqué, Tout point de dégâts reçus est ajouté à la réserve de dégâts retardés. A la fin de son prochain tour, le croisé subit des dégâts égaux au nombre de point d sa réserve, qui revient alors à 0. Les effets de soin peuvent augmenter les points de vie du croisé ou réduire sa réserve de dégâts retardés, ou les deux (réparti comme le désire le croisé). Tout effet lié à une attaque, comme une absorption d'énergie ou une paralysie affecte malgré tout le croisé normalement et leurs effets en sont pas retardés par cette aptitude. Si la réserve de dégâts retardés du croisé est remplie, celui subit immédiatement tout dégâts supplémentaire qui lui serait infligé. Si une attaque remplit cette réserve, tout point de dégâts restant est immédiatement infligé au croisé. La réserve de dégâts retardés a une capacité de 5 au niveau 1. Elle augmente de 5 aux niveaux 4, 8, 12, 16 et 20. Les effets de réduction des dégâts s'appliquent au moment où l'attaque est reçue et ne s'applique pas à nouveau lorsque le croisé subit effectivement les dégâts.
Contre-attaque furieuse (Ext). Un croisé peut canaliser la douleur de ses blessures dans une rage pour frapper ses ennemis. Chaque attaque le frappant ne fait que le rapprocher de la gloire. Durant son tour de jeu, le croisé gagne un bonus à ses jets d'attaque et de dégâts égaux au montant de sa réserve de dégâts retardés divisé par 5 (arrondi à l'inférieur, pour un minimum de 1 si celle-ci n'est pas vide). Ce bonus ne s'applique que durant le tour de jeu du croisé, pas en-dehors de celui-ci.
Hors classe 4 Psychologie + 2 +4 en opposition + 6 Maitrise des cordes +3
Langue : Idahien
Arme corps à corps : - epée longue 15 po - dague 2 po Armure : Crevice 250 po Bouclier : écu d'acier 20 po
Sac à dos :
Carte détaillée D'idahos dans son étui prix 1 po + ? Carte détaillée De northplane dans son étui prix 1po + ? Grand Livre d'Archive (semblable à un grimoire. Pour y inscrire tout acte judiciaire (sanction, intervention etc) fait.) 15 po De quoi écrire (et dessiner des portraits à l'occasion) 10 po Trousse de premier secours 50 po menottes x2 (tailles M) 30po corde de chanvre 1 po Ration de survie (10 jours) 5 po outre 1 po Paillasse 1 pa tente 10 po Torche éternel 110 po silex et amroce 1 po sacoche immobilisant 50 po
Tenue de voyageur (sous l'armure) 1 po
Bourse : 543 po 9 pa
EXP : 6500 exp
PV niv 2 et 3: Bahamut lance 2d6 et obtient 11 (5, 6)
Réflexion sur L'ordre de Sant-Cuthbert Je vais différencier le Guet et L'ordre. le Guet est une branche de la milice, entièrement dirigée par les autorités civiles. Ils sont une protection de proximité pour la population, ils surveillent les individus dangereux, font respecter les couvre-feux, et signalent les crimes et incendies.
La Ordre est une structure religieuse faisant la plus grande partie du pouvoir exécutif et judiciaire. Il est contrôlé par les chefs spirituels de Pélor et Saint-Cuthbert avec un droit de regard attribué aux hautes instances civiles. Il existe un groupe représentant l'ordre dans chaque grande ville. Les "locaux" de l'Ordre sont dans le "Temple de justice", annexé au temple principale de Pélor (ou sanctuaire/temple du Saint) de la ville. Un Temple de justice est assez imposant et sert de casernes pour les membres de l'ordre ne vivant pas dans des temples strictement religieux (ou assez rarement une habitation civile), une partie qui leur est strictement réservée servant de centre d'entrainement ou de bibliothèque, une salle d'archive, un tribunal ainsi qu'une section pour la détention provisoire de suspect ou de criminel dans des cellules aménagées.
En théorie tout le monde peut saisir l'ordre pour une affaire contre n'importe qui. Il suffit de venir déposer une plainte, puis le plaignant et l'accusé sont contacté pour venir à un accord à l'amiable dans les cas bénins. Pour les affaires plus importantes, l'accusé est simplement surveillé ou parfois mis en cellule provisoirement pendant qu'une enquête à lieu donnant suite ou non en fonction de la présence de preuve.
En cas de preuves suffisantes un procès est annoncé. L'accusé a alors, s'il le souhaite, deux jours pour décider de faire appel pour un duel judiciaire. Lors d'un duel judiciaire, l'accusé et le plaignant doivent s'affronter eux-même ou en nommant des hérauts. Les membres de l'Ordre ont la possibilité de se battre pour n'importe quel parti ainsi que de déclarer le recours à un champion obligatoire si l'un d'eux est jugé inapte au combat. Le combat se termine lorsque l'un des deux combattants est neutralisé ou mort. En cas de feinte ou de combat biaisé par un tiers ou truqué, les sanctions de l'Ordre sont terribles. Ils est très rares que deux membres de l'Ordre s'affronte lors d'un duel judiciaire, celui-ci va alors jusqu'à la première goutte de sang versée. L'issue d'un duel judiciaire fait acte et l'accusé est libéré mais tout de même considéré comme averti. Sans duel, le procès débute et chacun à droit à l'aide d'un tiers. L'accusé est alors jugé innocent ou coupable.
En cas de preuves insuffisantes, un mise en suspend de la plainte a lieu. Celle-ci est archivée et l'affaire est considérée comme étant en pause et l'accusé libéré et considéré comme averti. Une plainte n'ayant pas aboutie et un suspect déjà déclaré averti sont des éléments servants de preuves intrinsèquement. Concrètement, un homme accusé d'un crime mais sans preuve sera plus facilement relaxé s'il subit sa première plainte que s'il est connu de l'Odre et est déclaré préalablement averti.
En pratique, les plus pauvres n'ont pas souvent recours à ce genre de procédé car il y a une somme modeste à payer - qui sera par la suite prise à l'accusé s'il y a procès - pour déposer la plainte qui est parfois rédhibitoire. De plus peu de gens osent s'attaquer à des personnalités ou à des individus issues de milieux plus aisés. Il est à noter aussi que lors d'une condamnation de dédommagement - en nature ou pécuniaire - l'Ordre en prélèvent une partie.
Les membres de l'ordre sont enquêteurs, jurés, champions et bourreaux. Ils peuvent être spécialisés en fonction de leur talent ou non.
L'ordre ne se limite pas à juger des affaires au Temple. Ses membres peuvent aussi aller dans les campagnes reculées - appelés ou lors d'une ronde- où ils permettent aux gens les plus démunie d'avoir recours à la justice en demandant le gîte et le couvert en guise de paiement. Ils assurent les affaires sérieuses comme dérisoires et servent parfois uniquement de médiateur pour des simples conflits.
Dans les cas où un membre est en ronde, qu'il surprend un crime, qu'il en juge inutile ou que la situation rend impossible à un recours au protocole habituel, il n'y a alors pas de procès et celui-ci peut directement jugé l'individu coupable ou non et exécuter la sanction.
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La parole et le jugement d'un membre de l'ordre est irrévocable. Ils sont une figure d'autorité et respecté par la majeure partie de la population d'Idahos. Il existe une expression lié à l'ordre de Saint-Cuthbert « Ne pas aimé Saint-Cuthbert. » venant d'un ancien adage aujourd'hui très peu utilisé « N'aime Saint-Cuthbert qui voit les crimes à faire ». Le sens principales est que seuls les criminels ont généralement pas d'admiration pour l'ordre du Saint. Donner l'exemple est une priorité. Voici un extrait de leur code de conduite juré sous serment, tel que de rester humble, ne pas succomber à la corruption, rester impartial dans l'application de la loi, proteger les démunies et ne pas être l'agresseur d'un combat.
Tous ça c'est très bien. J'approuve. Sauf le Symbole. C'est celui de Saint-Cuthbert que tu devra arborer. Et il sera présent un peu partout sur ton équipement (armure, bouclier, bannière, etc.)
À la limite tu peux l'inclure dans un autre symbol de ton cru mais il faut qu'il reste assez visible.
"Depuis un bon moment déjà, Frère Victor entend parler des Terres Scellés à chaque conversation qu'il entame avec les nobles de la ville ou ses frères d'armes. Les premiers vantent l'opportunité d'y acquérir des terres et du pouvoir, tandis que les second y vois l'occasion d'y exercer leur bravoure et prouver leur foi envers l'ordre. En effet, l'état idahien offre une prime et des droits de propriétés à tous ceux qui partent s'installer dans les Terres Scellés en son nom. Les mercenaires qui cherchent à devenir des seigneurs sont les premiers tentés.
Plus d'une fois, Victor a été incité à y aller même par ses plus proches. Que ce soit par ses frères d'armes qui souhaitent défendre les opprimés là bas ou par certains hommes de pouvoirs qui veulent l'éloigner de leurs affaires.
L'arrivée de Frère Victor au Fort est attendue. Le duc ayant été mis au courant du décret annoncé au sujet de la prime avant même qu'il n'ai quitté la capitale.
En arrivant au fort, Victor en apprend plus sur la situation. La zone est sous contrôle, mais quelque part dans ce gouffre, des survivants de tous bord continuent de cohabiter et finiront par se retourner les uns contre les autres si rien n'est fait. Victor va donc rejoindre l'expédition dans l'espoir de retrouver les survivants et les guider vers la surface."
Bon c'est pas très inspiré donc si tu as mieux je suis preneur.
Je t'avais dis de faire un tour sur le forum, mais je n'ai pas fini ce que j'avais commencé et c'est partit. (Je n'ai pas envoyé et quand je l'ai fait ça m'a recharger la page en mode "on efface tout et on r'commence !"
Du coup je remarque ici (en résumé) ce que je disais. - c'est quoi le symbole du Saint ? Tu ne me l'as pas précisé. - J'ai refait "au propre" le concept de l'ordre, je suis en train de penser à des sortes de vœux, si tu as des idées n'hésites pas. Je pense par exemple aux trucs un peu bateau de base : être gentil, pas être méchant etc Le célibat forcé ? Je ne pense pas aux vœux de pauvreté, je les imagines plutôt a l'aise sans pour autant faire d'excès (mais en revanche d’aumône avec une redistribution partielle des richesses). - J'avais en tête aussi une histoire pour donner un peu de profondeur au départ. (c'est pas aussi long et aussi bien écris que c'etait avant) Victor n'est pas intéressée par les terres ou l'or et refuse de participer en un premier temps à cette "ruée vers le pillage" et la colonisation d'un territoire en deuil. L'idée lui traversa cependant l'esprit alors qu'il regardait se bousculer les nobliaux avides de plus de richesses et leurs "porte-lames" qui feront le travail à leur place. Il se dit en effet qu'il serait peut-être moins mauvais qu'eux. Mais il se décida finalement lorsqu'il entendit des propos sur les conditions de vie anarchique que certains subissant, et que son frère qu'il n'avait pas vu depuis presque vingt ans était en service à Northplane au moment du cataclysme. Il partit donc mettre de l'ordre parmi le chaos des survivants et des "colons", mais avant cela il voulut se diriger vers un camps où son Pierre devrait se trouver. Il arrive au camps... Son frangin aurait pu être sous le commandement d'Asgeir (mais il a plus trop l'air présent) ou du Duc ou de qui tu veux. Mort ou mourant (plus sympa, peut faire u peu de RP, je ne m'embarrasse pas d"un PNJ) ou vivant. Je n'ai pas encore tout lu, mais si un soldat d'Idahos à déjà aidé les PJS / été utile / s'est sacrifier / est plus ou moins sympathique, ça pourrait être lui, donnant un peu de lien avec les autres. J'ai pas tellement envie de m'occuper d'un PNJ. -pareil je ne sais pas vraiment qui est le Duc. Ce qu'il fait dans l'histoire... - Aussi, si j'ai bien compris, c'est Ashan qui possède le fort ? Si c'est le cas, Victor se présentera obligatoirement à elle aussi et demandera l'hospice (de manière toute aussi courtoise qu'avec le Duc)
Si t'es ok, je finalise ça et je suis prêt pour le post d'entré au fort. (Ou on passe les présentations avec le Duc, surtout que tu n'es pas trop au point en ce moment pour du RP, et on passe au moment ou je demande l'hospice à Ashan ou que je demande à Asgéir s'il connait mon frangin.
- Pour les voeux y en a pas vraiment chez les croisé de l'ordre. C'est surtout : Défendre les opprimés et Tuer tous les infidèles. Tu peux faire un code d'honneur à la manière d'un chevalier protecteur ou d'un Kensai mais ça ne sera pas aussi poussé. Pour les voeux y a des règles dans les chapitres sacrés. Tu veux chercher là dedans ?
- L'idée du frère ayant fréquenté un autre PJ est bien mais Asgeir ne répond plus depuis un moment malgré mes multiples tentatives d'encouragement et je crains que ce ne soit aussi le cas pour Ephilias, même si lui fait des effort pour poster de temps en temps et je le remercie au passage. Donc tous ceux qui aurait pu se battre aux coté de ton frère disparaissent petit à petit et n'iront peut-être pas en expédition avec le groupe. Je te propose donc d'autres alternatives : Pierre était plus haut gradé et était connu du Duc lui même donc c'est à la demande de ce dernier que tu pars avec le groupe. Ou pour faire plus simple : c'est Aris, l'instigateur de cette mission, et l'un des rares nobles en qui tu as confiance, qui t'as demandé de venir l'aider.
- Le Duc Gautant Lonelier (cf Codex) est en gros le big boss du coté de l'idahos. C'est lui qui dirige toute la campagne dans les terres scellés depuis le cataclysme. Il est aussi la "main du roi" si tu préfère. Aris est un noble connu pour ses études en sciences. Il est le scribe du Duc mais remplit aussi ses propres missions de son coté.
- Les propriétaires du fort sont Ashan, Remington, Miguel, Ephilias et Asgeir. Je ne me souviens plus comment ils se sont réparti le fort, mais ils ont délégué la gestion à Aris en échange d'une pièce dans la tour qu'il occupe pour ses propres travaux.
Oui dès que tu as tout finis je fais un check rapide et je te lance dans le bain.
Tout me semble ok, je suppose... je suis trop fatigué pour vérifier en fait. Pour tes cartes il n'y a rien de plus que ce qui est indiqué dans le codex et les cartes que je donnes dans le RP. Et c'est gratuit. Si tu en trouves d'autres je te le ferai savoir.
Inscription : Oct 2013 Message(s) : 9597 Localisation : Isère
Quelques infos sur Kubilaï. Sa description sera reprise dans les premiers posts RP, de toute façon.
Message secret pour Bahamut.Kubilaï est de taille moyenne pour son peuple, soit légèrement plus petit et plus léger que la normale des hommes. Costaud, le geste sûr, le visage buriné par la vie dans la steppe du Nord, le regard bleu-gris, à la fois vif et apaisé, l’homme semble plus âgé que ce qu’il est vraiment. Kubilaï semble communiquer en permanence avec la nature environnante, en étant humble devant elle, comme s’il ne se prétendait qu'invité par elle pendant la durée d'une vie. Il considère ses animaux comme des amis : Un aigle royal, Khaany, qu’il envoie régulièrement voler au-dessus de lui, et un cheval sauvage qu’il a domestiqué, Hongon. L’arc qui pend dans le dos de Kubilaï est impressionnant de par sa taille et original de par sa conception. Incurvé à contre-sens sur ses extrémités, il permet de projeter la flèche avec force et beaucoup plus loin sans pour autant faire plier l’armature principale. Kubilaï dit que son peuple, les Tchakhars, fabriquent ce genre d’arc depuis des temps immémoriaux avec les ossements d’aigles géants trouvés sur le glacier qui sépare les pays que Victor connait comme étant les Terres scellées et le Dragar, au « Nord du Nord ». Des régions étranges et inconnues pour le Croisé. Kubilaï se présente humblement comme le Kharuldan des Tchakhars. Il semble que ce rôle soit important, mais il ne s’en vante pas spécialement. Au détour d’une conversation, Victor a pu apprendre que son épouse est décédée il y a peu, et qu’il a confié son fils au grand roi des Turkouts, une autre tribu nomade de la steppe.
Curieux, lors de soirées ou le nomade jouait quelques morceaux sur une vielle carrée à l’embout en forme de tête de cheval (et dont il ne joue pas spécialement bien), Kubilaï posa beaucoup de questions à Victor sur ce qu’il faisait, d’où il venait, comment était organisées les choses. Malgré sa provenance d’une contrée reculée, Kubilaï en connaissait autant que la plupart des gens sur le monde civilisé, bien que beaucoup de ses renseignements, transmis par voie orale entre Tchakhars, semblaient dater. En apprenant l’existence de Fort-Brisé, le cavalier nomade décida de s’y rendre. Il souhaitait s’aventurer dans le gouffre, et avait besoin d’aide pour y parvenir.
Donc Bahamut, voici un nouvel élément à ajouter à ton BG (@Viadoq ça peut aussi t'intéresser) :
Le Camp de Tewick était le premier camp de réfugié, avant l'arrivée du Duc. Le lieu a été attaqué par un groupe de bandits et de déserteurs organisés. Plutôt que de perdre des hommes dans un affrontement de face, le duc se retira du camp et laissa les ruines du village aux bandits pour s'installer au nord, dans le Fort. Il envoya alors une missive à la capitale, réclamant des renfort, et mettant l'accent sur la menace que pouvait représenter ces bandits qui coupaient la route aux ravitaillements. L'ordre de Saint-Cuthbert décida donc d'envoyer Frère Victor pour s'occuper d'eux.
À la frontière, le croisé prend contact avec les renforts mobilisé pour la mission ainsi que les soldats du duc qui étaient restés à l'avant post Est (voir la petite carte dans le codex). Ensemble, ils reprennent le camp et font fuir les bandits.
Victor se dirige ensuite vers le Fort-Brisé, pour remettre son rapport au duc et prendre des nouvelles de son frère puis sera-t-il certainement assigné à une autre tâche.
@Viadoq : Kubilai peut apparaitre à n'importe quel moment de cette partie de l'histoire que ce soit avant, après ou pendant la reprise du camp de Tewick.
Inscription : Oct 2013 Message(s) : 9597 Localisation : Isère
Si je résume (je ne sais plus dans quel topic je dois le faire !) :
Le Camp de Tewick était le premier camp de réfugié, avant l'arrivée du Duc. Le lieu a été attaqué par un groupe de bandits et de déserteurs organisés. Plutôt que de perdre des hommes dans un affrontement de face, le duc se retira du camp et laissa les ruines du village aux bandits pour s'installer au nord, dans le Fort. Il envoya alors une missive à la capitale, réclamant des renforts, et mettant l'accent sur la menace que pouvait représenter ces bandits qui coupaient la route aux ravitaillements. L'ordre de Saint-Cuthbert décida donc d'envoyer Frère Victor pour s'occuper d'eux.
À la frontière, le croisé prit contact avec les renforts mobilisés pour la mission ainsi que les soldats du duc qui étaient restés à l'avant poste Est (voir la petite carte dans le codex). Ensemble, ils reprirent le camp et firent fuir les bandits.
Victor se dirigea ensuite vers le Fort-Brisé, pour remettre son rapport au duc et prendre des nouvelles de son frère puis sera-t-il certainement assigné à une autre tâche. Malheureusement, les fuyards se sont regroupés, désireux de se venger. Ils voulaient de plus prendre le contrôle de la route menant au fort, afin d'en détourner les ravitaillements.
Kubilaï a repéré la piste de Victor, ainsi que celle de fuyards du camp de Tewik. Après s'être installé sur un poste d'observation, Kubilaï a vu le début de la baston. Il décida d'intervenir : La steppe est un monde dur, dans lequel la solidarité entre humains est de rigueur. On n'y vole pas le bien d'autrui. Au contraire, les Tchakhars donnent de l'aide à ceux qui en ont besoin et l'hospitalité à ceux qu'ils rencontrent. Kubilaï réagit donc contre les brigands. Après cela, la moindre des choses est de discuter. Surtout que Kubilaï cherchait des informations sur le gouffre. Kubilaï comprend que Victor va vers Fort-Brisé. Il finit par penser que les esprits de la nature ont voulu cette rencontre, et ils chevauchèrent de concert vers le gouffre. Plus tard, une ultime colonne de criminels de Tewick les attaque, ce qui scella une amitié de "frères d'arme".
Je pense qu'il vaut mieux inverser la chronologie et placer le combat au camp de Tewick comme le climax de ce BG commun.
Ainsi tu aura rencontré Victor alors qu'il était encore en route vers Tewick, tu l'as aidé à affronter un premier groupe de bandits isolé (des éclaireurs par exemple) puis tu l'as accompagné jusqu'à Tewick avec des renforts idahiens et là mega baston > frères d'armes > Direction Fort-brisé > Début RP... D'ailleurs ça a déjà commencé ! Bon jeu !
Inscription : Oct 2013 Message(s) : 9597 Localisation : Isère
Ben, inverser la chronologie, c'est prendre la proposition 1 de Bahamut, alors que nous avions convenu de prendre la proposition 2...
Franco, je ne vois pas pourquoi Kubilaï irait aider une troupe quelconque à reprendre le camp de Tewick pour le compte d'un Duc avec lequel il n'a aucune relation. Quel est son intérêt à faire ça ?
Ben il l'accompagne jusqu'au fort c'est tout il va pas resté planté a le regarder se battre tout seul s'il s'est déjà engagé ! Et pis des bandits c'est des bandits. Soit il les affronte avec Victor soit il prend le risque de les affronter seul plus tard dans une embuscade.
Le choix est vite fais
Aprés vous faites comme vous voulez, l'essentiel est que vous soyez arrivés au fort.
Tu poursuis un but, une quête (je ne sais pas quoi finalement) mais peut-être que le fort de Tewick te permets (ou tu penses que ce sera le cas) d'avancer un peu dans celle-ci. Ou d'obtenir des infos. Tu acceptes d'aider Victor en y trouvant un intérêt. Que ce soit "payant" ou non après c'est autre chose.
Ou sinon on peut dégrader la relation entre les deux PJs de amicale à simplement cordiale. Victor (qui n'est pas un "paladin" sans reproches mais simplement un homme croyant et qui a des principes) fait un peu de "chantage" à Kubilaï. Un accord donnant/donnant. Il l'aide à nettoyer le fort et en échange, lui et quelques hommes du Duc (en premiers lieux les Pnj qui aident victor pour le fort Tewick, mais qui s'avèrera être les autres PJs) aideront à leur tour Kubilaï dans sa quête.
Inscription : Oct 2013 Message(s) : 9597 Localisation : Isère
OK. Kubilaï participe donc à la prise du camp de Tewick. Il espère en retour une aide de la part de quelqu'un (le duc, victor, etc) pour la poursuite de sa quête, dont il a à peine parlé à Victor (voir mon texte en message secret plus haut).
Inscription : Oct 2013 Message(s) : 9597 Localisation : Isère
Les bons comptes font les bons amis. Proverbe Turkout. Après, cette aide peut n'être que de mettre en contact avec les bonnes personnes. Kubilaï ne va pas demander à ce que Victor risque sa vie pour juste l'aide qu'il a pu apporter. Ce que Victor a déjà quasiment fait : Il l'amène avec lui voir le Duc. Ensuite, l'amitié (et la loyauté qu'elle suppose) se construit sur plus de temps que quelques jours pour Kubilaï.
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