Akagami reconnue La pente sur laquelle il se tenait, car Corbeau lui avait montré. Cependant, quelque chose ne collaient pas : D'abord, les cinq clanpins à coté de lui n'avait rien n'a voir avec les deux rambos de sa vision. Ensuite, il venait de rentré dans un bar, pas de partir dans le grand nord. Et il n'avait pas froid.
"Encore une vision Corbeau? J'espère au moins que j'ai eu le temps de m'assoire et de commander quelque chose, sinon je vais me réveiller par terre ou dans une ambulance..." gromella le shaman. Il cru entendre un croissement moqueur dans le vent en guise de réponse. Ce serait bien le genre de Corbeau.
La vision se déplaça, et il se retrouva d'un coup dans une sorte de... salle du trone? C'était la salle dans laquelle c'était dérouler la fin de l'assault des deux rambos, et où le miracle au phosphore blanc s'était accompli. Une douzaine des fillettes était en transe méditative autour du singler qui se nomait lui-même Gabriel, lui même ostensiblement concentré. La porte souvrit sans préambule, et un militaire entra. En voyant le spectacle devant lui, il fit une mine dégoûté et se retient de justèce de cracher par terre.
"Le colonel veut te voir, Gabriel." Lacha le soldat avec une voix roque d'avoir trop bu ou trop fumé, probablement les deux. Gabriel ne leva pas les yeux. "La séance de méditation des élues sera terminée dans dix minutes." La voix de Gabriel était douce et calme. Il parlait avec des intonnation à la limite du chant d'église. "Non, il veut te voir maintenant." Insista le soldat. Toujours sans regarder l'intrue, Gabriel leva la tête, son masque de sérénité presque parfait, mais corbeau montra son aura à Akagami. La rage et la frustration bouillonnaient en lui à peine contenue. Akagami eu l'image d'un ados à qui on demande de venir manger en laissant son activité du moment de coté. Il ressentit plus qu'il n'entendit l'approbation moqueuse de Corbeau.
La scène se déplaça encore. On était cette fois dans un bureau. Un militaire agé, en uniforme couvert de galons qu'Akagami n'avait jamais apris à reconnaitre était debout, les points appuyés sur son bureau. Lui aussi était en colère, mais il se maitrisait mieux, contrairement aux apparence. Son agitation apparente était calculée et disciplinée.
"Je te demande une dernière fois! Pourquoi ne m'as-tu pas avertit de la présence des ces intrus?" Brailla-t-il. En face de lui, Gabriel gardait un visage impassible. Sa colère était toujours là, mais il avait controlé sa frustration d'avoir été interrompu pendant sa scéances de méditation. Techniquement, dans la vision, cet épisode aurait pu se dérouler plusieurs jours plus tard, ou même plus tôt, mais Akagami savait que ce n'était pas le cas. C'était le truc avec les visions : des fois on savait des choses sans savoir vraiment comment. Cherchait à en savoir plus sur la source du savoir n'ammenait jamais rien de bon.
Gabriel répondit d'une voix calme, mais contrairement à l'autre militaire, qu'il aurait probablement écrasé si quelque chose ne le retenait pas, il regardait l'homme en face de lui, et Akagami vit même du respect dans ses yeux : "Je ne suis pas un de tes éclaireurs. S'ils avaient correctement fait leur travail, vous n'auriez pas eu besoin qu'une de mes élues vous en parle. De plus, il était encore loin quand nous les avons rencontrer, en dehors du périmètre de sécurité de la base. Ce sont des âmes perdus, je leur ai donné une chance de se repentir avant qu'il ne soit trop tard."
Le colonel changea de ton pour adopter la colère froide et tranchante. "Ta mission est plus importante que l'âme de quelques dégénrés qui tente de nous infiltrer. C'est gens sont une menace, et ils doivent être éliminé. Mais je ne veux pas que tu les confronte à nouveau. Tu as mieux à faire. Je ne veux pas non plus que tu risque la vie de tes élues. Mes hommes s'occuperons d'eux facilement."
Gabriel ne put retenir un rictus de mépris à la mention des subalternes du colonel. A l'évidence, quiconque n'était pas au minimum éveillé ne valait rien à ses yeux, à part le colonel.
"Retourne à tes occupations. Cette discution est close." fit le viel homme en se rasaillant. Il posa ses yeux sur des document sur son bureau et fit comme si Gabriel avait déjà quité la pièce. Ce dernier se retourna simplement et partie effectivement sans un mot. La colère était toujours présente dans les deux hommes, comme des fournaises dans des machine à vapeurs.
La vision se brouila, et Akagami finit le pas qui le fit entrer dans le "Hugin et Munin". Au prix d'un grand effort de concentration, il évita de trébucher et continua naturellement vers le bar pour commender une bierre. Une fois installé ensuite dans un coin du bar, avec une belle vue sur l'entrée et pas trop loin de la porte de derrière, il médita longuement sur la raison qui avait poussé Corbeau à lui montrer tout ceci, et pourquoi cette vision semblait être une version alternative de la précédente. Corbeau lui, ne fit plus aucun commentaire.
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