A la table du petit déjeuner ...
celui que vous ne voyez pas ....
C'est votre hôte !!!

Raphaël, Adrien, Cynthia, Eustache ...
le personnel du château ...
tout le monde est là ...

Tout le monde sauf ...
sauf Victurnien de Dournazac !

Pour ce lundi 29 octobre 1900, il est prévu que
« Monsieur Georges Musset devrait arriver à la mi-journée. »

le repas méridien sera servi à midi et demi
le dîner, s'il n'y a pas de contretemps, sera servi à 19h
si nécessaire, un souper peut être préparé pour 23h, au salon ou en chambre

Rien d'autre n'étant acté,
vous êtes libres de vos mouvements pour cette journée de lundi.

Vu l'heure très matinale du petit déjeuner, l'absence du duc ne nous a pas surpris.
Après avoir petit déjeuner, fait nos deux heures de recherches et avoir discuté avec nos amis dans le jardin,
il sera temps que nous allions saluer le duc.

lundi 29 octobre 1900, 11h30

Un fiacre dépose Monsieur Georges Musset à l'entrée du château.

Peut-être que M le Duc va se montrer.

Adrien et Cynthia saluent les nouveaux arrivants avec courtoisie.

Si le duc n'est pas là, ils partent à sa recherche, d'abord en interrogeant le personnel.

En fait, d'après mes messages antérieurs, nous l'avions fait assez tôt dans la matinée, après une discussion à 4.

Raphael vient accueillir le Rochelais

« Je suis le Canadien que vous attendiez...
bien qu'après 16h de lecture de votre oeuvre, je ne vois toujours pas
en quoi je suis si convoité! »

« Monsieur Trépanier ! »
« Quelle joie de vous voir. »
« C'est vraiment chic de la part de notre bon sénateur
d'avoir accepté de vous inviter, vous ne trouvez pas ? »
Prenant le bras de Raphaël, Georges l'entraîne dans le parc

« C'est une excellente idée ! », dit Eustache. « Dans mon cauchemar, j'étais emmené de force dans une église où on me crucifiait sous le regard d'une foule nombreuse et complice... Et j'avais une telle impression de réalité que, si je croyais à la réincarnation (ce qui n'est pas le cas), je jurerais que ça m'est effectivement arrivé dans une vie antérieure... Je me demande qui a bien pu subir un tel sort et surtout pour quelle raison. »

Eustache demande à Adrien et Cynthia où ils ont trouvé les livres qui leur donnaient des renseignements sur leurs cauchemars et part en quête d'une description du sien dans l'un de ces bouquins, en commençant par celui (ou ceux) où ils ont trouvé le leur...

Jet éventuel de Perception (60 % + 20 %) : gollum_deux lance 1d100 et obtient 72 (72).

Une fois ces recherches faites, fructueuses ou non, il va accueillir M. Musset et se présenter à lui. Même lorsqu'on a passé une mauvaise nuit, on se doit d'être correct, surtout quand on n'est pas chez soi.

Eustache, aidé par Adrien et Cynthia, trouve rapidement le rayonnage où l’histoire de la famille et du château sont consignés dans de nombreux ouvrages couvrant leurs siècles d'existence et de légendes variées.

S'il ne trouve rien concernant une crucifixion suivie par l'exsanguination de la victime « pour remplir les reliquaires » ;
En revanche, Eustache trouve la description détaillée du « talisman » confectionné pour contrer la malédiction d'Abrianne Mauletan, suppliciée à 16 ans, au motif de sorcellerie Et, paradoxe de la situation, c'est un authentique « rebouteux », reconnu dans la région, qui confectionna ce talisman,
gardant le secret de sa fabrication, il aurait tout de même fourni « une lettre de consignes » à respecter scrupuleusement.
Cette lettre n'est pas reproduite dans l'ouvrage consulté.

La correction d'Eustache l'honore ...
à défaut d'être partagée !
Monsieur Georges Musset n'a d'yeux ni d'attention que pour Raphaël Trépanier !
Délaissant ses bagages, sitôt que Raphaël se soit présenté,
Monsieur Musset entraîne ce dernier dans le parc pour lui parler loin de tout autre interlocuteur

Adrien sourit à Eustache. "Nous avançons. Je m'inquiète pour le duc. Soit nous faisons pression sur le majordome en lui disant que le duc est en danger, soit on attend le déjeuner ? En tous cas, une fois l décision prise, quelque qu'elle soit, je vais chercher mon arme. "

...
>>>
...

Eustache ne se courrouce pas du fait que Musset ne s'intéresse pas à lui. Il n'a plus l'âge d'être jaloux et se montrer poli l'importe beaucoup plus que recevoir de la politesse en retour...

Il se tourne donc vers Adrien et sa charmante épouse.

« Je comprends votre inquiétude, mon cher Adrien... Mais il ne me semble pas que le duc soit en danger. Du moins, pas pour le moment, car cela pourrait effectivement venir... Après tout, c'est un homme qui a beaucoup de responsabilités et il doit lui arriver plus d'une fois de quitter sa demeure pour régler des affaires importantes ici ou là... Mais, promis, s'il n'est pas rentré ce soir, nous irons interroger son Majordome en le pressant un peu plus pour qu'il nous réponde. »

« En attendant, si nous enquêtions sur cette fameuse boîte qui a disparu. Je viens en effet de trouver des renseignements sur un talisman censé protéger le Duc de la malédiction d'Abrianne Mauletan, suppliciée à 16 ans, au motif de sorcellerie... »

Eustache montre tout ce qu'il a découvert à Cynthia et Adrien.

« A mon avis, c'est ce talisman qui a été dérobé... Et si la malédiction est bien réelle, le Duc n'est plus protégé... Il est d'ailleurs peut-être allé voir le rebouteux qui l'avait confectionné si celui-ci est toujours de ce monde. Il faut absolument que nous retrouvions cette boîte, ou la personne qui l'a volée. Ou les deux ! »

Adrien sourit : « Compte tenu des siècles écoulés, je doute que le rebouteux soit encore de ce monde !!!
Mais d'accord pour chercher la boîte et le voleur. comment comptez-vous vous y prendre ? »

Raphael revient vers les autres invités

« Voici Monsieur Adrien Presle et son épouse. Monsieur est un éminent archéologue!

et voici monsieur Eustache Duruisseau
Fonctionnaire et journaliste de l'extraordinaire! Du paranormal! »

Le nouvel arrivé frétille comme un gardon

L'homme salue Adrien : « Je suis honoré... »
et son épouse : « Enchanté »

« OOOoooooooooooooh »
Monsieur Musset roule fébrilement le bout de sa moustache entre ses doigts
« Oui... Intéressant .... »
« Notre Sauveur ! ... »
« De si grandes choses ! »