« Heu ! » Le mouvement entre dans mon corps comme la foudre entre dans un arbre. L’ondulation de m’angoisse lance un vague de l’eau tiède au sol. Un éclat de noir traverse la pièce.
Est-ce des oiseaux partir par les fenêtres ?
► Afficher spoilerJ'ai lancé des vrai dés.
Selina déguisement : 1d20 (avec avantage) +11 = 30
Indibil perception : 1d20+10 = 17
« Hou la mon pote ! » Dit-Marçal, assis à côté du bain.
« Tu as fait une putain d’un cauchemar, bon sang ! »Je secoue la tête, chasser mes penses.
Il y a quelque chose que je devrais dit au Marçal … la blague d’Antoine ? Non … Ma blague salace ! J’ai lui humilié devant les artisanes !Je le regarde : il ne semble pas vexé.
« Quelle putain d’une journée, mon frère. »« Euh ? Qu’est-ce que tu as fait ? » Il me regarde, puis la fenêtre, puis me regarde encore.
Il est préoccupé ? Cherche-t’il des excuses ? Je le regarde encore : ce n’est pas comme lui.
► Afficher spoilerSelina déguisement 29
Indibil perception 19
Marçal est dans une humeur étrange, inhabituel.
Donc, je vais m’excuser directement. « Marçal, je t’ai fait tort. Je … »« Oui, tu es excessivement con, un vrai trou du cul. Je ne t’excuserai jamais. Et alors, ta putain d’une journée ? »« Mais, Marçal, pourquoi as-tu dû la défier juste là ? »Il tourne le côté droit de sa bouche en un demi-sourire.
« Heu ? Tu m’as humilié pour la protéger ? »« Non, pas ça, la blague était de distraire les artisans. Selina parle trop fort… »« Selina ? »« Oui, Selina, tu l’as bien dit : sa voix est aussi dangereuse que belle. » « … Continue. »Il aime ça quand je confirme son instinct. « Elle a presque brisé tous qu’on a fait pour les orphelins, hurlant : « ne vendez pas les orphelins ! Je les protège !» et tout ça. » Ma manière est assez dramatique que je jette plus de l’eau tiède. Le plancher est trempé.
« Penses-tu qu’elle ne devrait pas les protéger ? » Il me regarde, coudes sur ses genoux.
« Bon sang. »
► Afficher spoilerSelina Déguisement 26
Indibil Perception 20
« Euh … » Sa manière est vraiment étrange, et ses yeux, maintenant sur moi, maintenant sur la fenêtre. « Non, Marçal, nous tous devrions les protéger. Ma putain de journée entière était consacrée au ces oursins. » Je balance la tête et m’allonge, mes lourds cheveux noirs dégoulinant sur le sol.
« Et qu’as-tu fait pour eux, aujourd’hui ? »« J’ai parlé avec les artisans pendant le matin, étalant joie et félicitations avec du jambon fumée. Ensuite j’ai visité des auberges. Oh ! Ce soir, à la grenouille qui grogne, nous avons un concert. L’aubergiste a des amis aussi riches qu’influents, et il les invitera. Ce n'était pas gratuit, j’espère que cela en vaudra la peine. »« Combien as-tu donné ce trou du cul aubergiste ? »« Cinq royales. »Il hausse un sourcil, grogne.
« Cela achèterait beaucoup de jambon. »Ses vêtements, je ne m’en souviens pas. « As-tu des nouveaux vêtements ? » Il avait fière allure.
« Tu dois dépenser de l’argent de gagner de l’argent. » Il sourire.
« Évidement. Après ça j’ai visité les ateliers des artisans. Teodor Berbel, il est un homme bon. Il protégera et élèvera ces garçons. J'aimerais qu'il y en ait une douzaine de plus comme lui. »« … D’accord. »« Arnaud Marcos est un connard souriant. L'oublier. »« Oh ? Pourquoi ? »« Il pense toujours de l’argent. Il ne s'occupe pas d'enseigner ou d'aider les orphelins. Et puis, Rambaut Triana, il a dit qu’il peut prendre un seul. Il était fermement résolu dans ce détail. Mais ses ateliers … il y a suffisamment des compétences et des talents pour enseigner quatre orphelins … » je formules mes penses en parlant …
« nous pourrions peut-être les héberger ailleurs … les apprentis pouvaient faire beaucoup de flèches pour les soldats du Bergara … »« L’armurier ? Il est assez doux. »« Oh, son vendeur, il m’a dit quelque chose intéressant. « Aider tous les orphelins du Bergara, c'est une tâche plus infinie que d'essayer de vider l'océan avec une fourchette. » dit-il. » Je fais un geste avec mes doits écartes dans l’eau tiède.
« Et j’ai répondu que je pouvais utiliser mon luth comme cuillère, et je pouvais même quitter Bergara avec l'océan dans mon luth. »« Putain de merde, qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est une métaphore. »Vexé :
« Ce qui signifie putain ? »« Dans cette métaphore, l’océan est l’essaim de nourrissons, le déluge d'oursins. Ceux qui n'ont pas de place ici, nous les amenons avec nous à Cardegoss, les formons à la danse et à la musique, embauchons des tuteurs, des cuisiniers, des chaperons. » Je me souviens du convoi festif qui se déplaçait vers le sud ... Des enfants trébuchent, tombent, palais, titubent, puis meurent ...
Quel mauvais présage ! Je grimace.
« … Selina va l’aimer. Mais ton « troupe templier » a donc besoin de plus que 310 pîvaz … et moi, j’ai aussi des dépenses aujourd’hui. »« Oui, mon ami, dis moi de ta journée ! »« Indibil, sors de ce bain ! Nous avons de l'argent à gagne. Allons à la grenouille qui grogne ! Je t'attends dehors. »