Étienne change de sujet et parle de la pluie et du bon temps.
Il tente d'intéresser la dame à son divin nectar Tel est pris celle qui croyait prendre...
afin de sa langue la délier.

La dame pérore encore quelques temps sur les mérites du mariage et les affaires qui tournent bien.
Elle se garde bien de mentionner nommément les Dy Jironal.
Avant que le carafon ne soit tout à fait terminé, elle met civilement fin à l'entretien.

Etienne a pris le temps de parcourir les yeux les pièces qu'il a visité, en quête d'indices, de lieux, de noms...

Étienne est gentiment raccompagné (sans passer par le hall d'exposition) jusqu'à la chaussée où le majordome veille à ce qu'Étienne s'engage dans la circulation...

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>>>>>>>>>>> Madame Dialtar a esquivé le sujet ... >>>>>>>>>>>

Etienne passe le reste de la semaine à trainer dans le port, afin d'en savoir plus sur le navire qui l'a vu mourir, le Alvares Cabral.

Les préparatifs de la fête du fils vont bon train.

Dans le quartier, des cerfs ont été chassés et ces pièces de venaison sont apprêtées pour le festival .

Étienne rêve des bois, de sa belle et se souvient que tout a commencé il y a 1 an, avant les moissons...

Etienne, une fois ses tâches de secrétaire expédiées, se dirige vers le port en amont ...

Étienne repère le bateau de la guide de mémoire. Un exploit!

Sagement amarré, tourné vers l'amont comme s'il était déjà prêt à remonter à l'assaut du courant,
le bateau ne présente aucun signe d'activité ni de présence.

Le crépuscule ne devrait pas tarder à se changer en nuit noire et obscure ....
La couverture nuageuse menace de cacher les moindres lueurs célestes résilientes ...

Étienne lance en Darthacain

(en darthacain) « Ipul nemum lae ipul mbusec lanone dono rce a ? (Satau lae Flone) »

C'est une étrange réponse qui provient du bateau

Il prend quelques temps à Étienne pour reconnaitre un loup... Ud aurait-elle apprivoisé un canidé? Il glaplit comme un renard en retour...

pas de carte de son sur mon ordi. Besoin du téléphone portable...

2 fois, une faible lueur éclaire la fenêtre de la cabine.
Puis plus rien.

Les signaux de reconnaissance sont bons. Étienne monte à bord.

Emmitouflées dans de chaudes couvertures, les filles aux cheveux trempés entourent la lanterne sourde qui a probablement servi à faire les signaux lumineux précédents en écartant les rideaux isolant la cabine des regards extérieurs.

« Bonsoir Étienne. » dit Udhëzues avec un demi-sourire.
« J'ai entendu dire que tu avais demandé après moi. »

Étienne salue Ud et Treg.

« Il semble que la soupe soit chaudes pour vous… Avez-vous les sbires des Jironal aux trousses ?
Le printemps passé, vous sembliez au dessus de ces problemes…

De but en blanc: Avez-vous mis les caisses de documents que je vous ai remis au frais ?
En avez-vous pris connaissance ? »