Le public accueille très favorablement la représentation.

La foule apprécie le spectacle et se montre généreuse.
Mais ce sont des marchands, des artisans, ils sont trop occupés par leur métier pour s'engager dans le fonctionnement de l'orphelinat.
Certains veulent bien se charger d'1 apprenti ou 2 mais seulement âgé de 8 à 12 ans.
Hors de cette tranche d'âge, les enfants sont trop jeunes (et demandent trop de soin sans être assez rentable pour aider)
ou trop âgés pour commencer un apprentissage ...
D'autres peuvent suggérer une parente pour venir aider.

Cella fait trop longtemps que je n'ai pas parlé avec les souris de la ville. Je regarde dans le chapeau : il y a déjà un fortune de pîvaz dedans. Je mange deux ou trois bouchées de ragoût, mais je suis trop distrait pour manger, en pensant à parler aux souris.

Pendant que Indibil et Marçal a pris leur bain, j'ai laissé des morceau du fromage roknari dans l'allée adjacente à la loutre farcie. Maintenant, pendant qu'ils jouent leur musique sur leurs luths, je reviens pour voir qui est arrivé au buffet.

« Aha ! Mes amis les souris. Vous êtes revenu ! » Je joue un mélodie simple sur mon flûte de roseau pour leur montrer que je suis leur ami. « Avez-vous des nouvelles ? »

« Indibil, mes mains sont comme des griffes, maladroites et pleines de tendinites, après avoir balancé cette pioche toute la matinée. » Marçal me susurre, se serrant la main entre les chansons.

« Où est Selina ? C’est déjà son tour, et toi et moi, oui, nous puons ce soir. » dis-je, mon estomac gémit.

« La garce s'est-elle enfuie avec le chapeau? Je me demande combien d'argent il contient. » Sa tête se tordant, à la recherche de notre nouvel ami.

À ce moment-là, juste à l’instant où nous allons perdre la foule, elle réapparaît au fond de la pièce, le chapeau s'affaissant sévèrement sous le poids de tout l'argent. Derrière elle, les triplés Suárez, portant les costumes roknari. Heureusement les pantalons d’équitation grenat masquent les taches de sang, même si les orphelins sont beaucoup trop petits pour remplir les chemises et les gilets amples.

« Je reviens. Messieurs, vous pouvez manger et vous reposer. Les triplés et le bâtard m'accompagneront. » dit Selina, monter sur scène.

Les accompagnateurs battaient sur des tambours à main, mais Selina n’en a guère besoin. Elle est tout à fait divine. Ils jouent des chansons populaires, et puis les triplés prends leurs chapeaux et se mélanger dans la foule, collecter de l'argent tandis que Selina chante la dernière chanson de la nuit.

« Mes frères, gardons l'espoir et la force d'y croire
Pour la paix dans le monde, l'amour que l'on sème
Écoute ma chanson d’enfançon
La vie des orphelins, plein de problèmes

Pas de nourriture, pas d’abri
Ils restent là face au roknari
Spectateurs au bord de Chalion
Leur peine est de manquer d’un champion

Mes sœurs, gardons l'espoir et la force d'y croire
Pour la paix dans le monde, l'amour que l'on sème

Esclave d'une vie qu'il n'a pu choisir
Enchaîné par la peur de mourir
Mais comment pouvez-vous fermer les yeux
Croire que tout ira mieux
Si personne ne fait rien?

Si personne ne fait rien
Coupables nous serons de ces orphelins
Voulez-vous vraiment que tout s'arrête?
Si ça continue, le bâtard viendra peut-être

Mères et pères, gardons l'espoir et la force d'y croire
Pour la paix dans le monde, l'amour que l'on sème »

Je vois des membres du public agités de façon surprenante. Je sens l'opportunité de répandre notre nom et de faire avancer notre cause.

« Gens de la public, nous sommes le « troupe templier », parlez à vos amis, votre famille, vos voisins des besoins des orphelins et de notre spectacle. Nous jouerons partout à Bergara cette semaine. » dis-je, mon estomac gémit encore. J'étais tellement fasciné par la performance, j'ai oublié de manger mon lapin.

L'interprétation de Selina est magistrale et déclenche un tonnerre d'applaudissements à la fin de sa prestation.
Il ne fait de doute pour personne que le message de la troupe sera abondamment relayé ce soir dans les foyers et demain sur les marchés ...
Les 8 Maîtres artisans qui ont déjà fait un petit signe pour dire qu'ils pourraient prendre 1, 2 ou 3 apprentis semblent réfléchir à ceux de leurs confrères qu'ils pourraient tenter de convaincre de les imiter...

Après minuit, je repose à une table en face de la scène avec mon maître d’armes, mon ami, et ces cinq derniers jours mon collègue musicien. Entre nous, deux chapeaux débordant d’argent sur la table. Je regarde Selina :

Maintenant assis, maintenant debout, maintenant traquant autour de sa table, elle porte une ceinture baldrique roknari en cuir acajou. Elle est animée, riante, flirtant, boire du vin avec trois marchands, chacun essayant de dépenser plus d'argent devant elle. Marçal me verse un verre du vin le deuxième moins cher du la loutre farcie. Il dit quelque chose que je n’entends pas ; je suis distrait par Selina.

« … ces assez d’argent d’assister plusieurs d’orphelins, même acheter un wagon pour nous emmener au Arrasate. Pourquoi as-tu dit qu’on va reste une putain de semaine ? »

« Tu l’as bien dit. Elle est un spectacle de merde en attend de se produire. »

« Heu ? Ah, Selina ? Mais tu l’as aussi bien dit. C’est une putain de montagne d’argent. » Il pose sa main sur mon épaule, chaleureusement, et continue, « Ce soir, tu as sauvé plusieurs orphelins, et je suis fier de toi. Mais notre objectif est Caribastos : « brandir les beaux-arts pour changer le monde », déclaré tu. »

« Marçal … » Voulait-elle baiser l’un d’eux ? C’était un acte ? Même moi, je n’en étais pas sûr. « … qu’est-ce que l’on a fait, ce soir, eh ? » Je heurte la table en secouant les tas d’argent, « Nous avons changé le monde avec les arts, mais nous n’avons pas résolue une moitié. Selina, nous devons le faire pour elle. Chacun des 79 orphelins, nous devons aider. » Je la montre à Marçal, présentement drapé sur le capitaliste le plus fier et le plus bruyant. Ses deux amis envieux alors que son flirt se concentre sur lui seul. « Marçal, elle n’est pas comme toi ou moi, elle est brisé. Et nous devons la guérir. »

Selina se lève,
Trébuche …
« Waou… »
… et casser une chaise alors qu’elle tombe dans une mare de son propre sang.

Ce qui provoque l'empressement de ses admirateurs à venir l'aider à se relever, s'enquerir de sa santé, l'aider à s'assoir, lui proposer à boire, ....
Ce déluge d'attentions provoque un attroupement tel qu'il finit par inquiéter Indibil et Marçal ...

Était-ce vraiment accidentel ? Ou délibéré ? Pourquoi l’a-t-elle fait ? Je suis déjà debout, appelant le propriétaire : « Mon cher Anastasi, une bouteille de ta liqueur la plus forte, tout de suite. » La loutre farcie, bien que chic, est néanmoins une auberge, et la chaise sur laquelle elle s'est écrasée était crasseuse. De l'autre côté de la pièce, je pouvais déjà voir une grande entaille sur son avant-bras et une autre suintant sur le côté de son cou. Rien de jaillissant, elle vivrait, mais nous n'avions pas le temps pour une infection.

Marçal disperse déjà l’attroupement, dieu merci, et je me surprends soudain à apprécier sa façon ferme et franche. « Merci à tous, merci à tous, mais notre spectacle est maintenant terminé. » Il nage à travers le rassemblement, repoussant les gens avec autorité.

Cherche-t-elle de l'attention ? Ou essayait-elle d'échapper aux flirts ? Est-ce ainsi qu'elle cachera son secret, qu'elle est un homme ? Je rencontre le propriétaire à mi-chemin entre Selina et le bar, et il me propose plusieurs serviettes propres comme bandages ainsi qu'une bouteille de whisky de grain. Il semble expérimenté dans ce genre de truc. « Anastasi, aidez-nous avec ce fric, prenez-le dans votre coffre-fort, merci. »

En arrivant à cotée du Selina, Marçal essaie déjà de la réveiller. J’agis vite, stoppant les saignements et stérilisant les plaies. « Marçal, portons-la dans la chambre. » Marcal la prend et se lève. Elle se prélasse, ivre et peut-être commotionnée, la foule agape observant le spectacle.

Selina tend la main, met ses doigts dans les cheveux de Marçal et l'embrasse à pleine bouche. Il se fige, confus, comme je suis.
« Hunh ? » Le colloque inspire collectivement.

j'y travaille ...

18 septembre 1466, 10 heures

« Ha ha ha ! » J’essaie de faire taire mes rires, pour ne pas déranger les artisanes. « Oh, c’est vraiment beau, ça, Antoine ! » Je chuchote au l’aubergiste. Même s’il ne parle pas beaucoup, quand il parle, il suffit de vous faire rire jusqu'à ce que vos couilles vibrent. Je note mentalement de raconter la blague au Marçal plus tard.

Assis au bar, parlent avec le propréteur, je scrute secrètement les artisans : pourquoi se sont-ils portés volontaires pour prendre des orphelins comme apprentis ? Notre musique a-t-elle agité leurs sympathies ? Si oui, bon. Pensent-t-ils qu’un apprenti les rendra riches ou réduira le travail banal ? Si oui, bon. Cherchent-ils un jouet, quelqu'un à fouetter, quelqu'un à frotteuriser ? Si oui, ça ne marche pas pour moi. Seulement une semaine, et nous devrons tout gérer. Nous pourrions aider beaucoup, mais combien allons-nous briser ?

Marçal raconte des histoires du guerre avec des artisans. Les artisans rient dans leur gaspacho et éparpillent les miettes de leur pain à la tomate. L’histoire peut être maladroit et trop thématique, mais cella ne semble pas d’avoir d’importance : ils sont envoûtés par le vieux héro de la guerre. « … vous ne pouvez pas voir quand un homme chie dans son pantalon sous toute cette armure, mais vous pouvez le sentir. En ce moment, quand les cavaliers roknari nous chargeaient, mon frère d'armes, son pantalon plein de merde, se détourne de l'ennemi pour dire: « si je meurs, promets que tu prendras soin de mes deux fils ! » Il a été piétiné directement, assommé, et a passé le reste de la bataille à faire une sieste à côte des trous du cul païens tombés. »

J’avais déjà entendu cette histoire et ça ne s’est pas bien terminé. C’est le temps d’interrompre. « C’est vrai. Lorsque vous prenez ces orphelins en tant qu'apprentis, vous n'aidez pas seulement les orphelins, vous ne vous aidez pas seulement vous-même lorsque vous acquérez un associé rentable, un membre de la famille et un ami, mais vous aidez toute la société de Bergara. Si les soldats peuvent compter sur les hommes bons comme vous pour prendre soin de leurs enfants orphelins, leur peur ne condamner pas dans la bataille. Cela protège vos entreprises, vos propres familles… »

Quelque chose sur le bord de mon mémoire me vexe. Je regarde Marçal, il dévore déjà du jambon fumé, content de me donner la vedette. Je continue, « quand vous prenez ces orphelins, vous gagnez un partenaire commercial pour l’avenir, un pilier pour votre retraite et un ami pour votre vieillesse. Mais vous aussi gagnez un fils ou une fille. Et ces enfants, contrairement à vous et moi, ne comprennent pas la famille … »

A soudain, je me souviens un rêve étrange que j’ai fait hier soir.


Je secoue la tête et essaie de continuer. « Ils ne savent pas comment être en famille. C’est vous qui devrons leur apprendre. Et c'est la leçon la plus importante que vous leur donnerez, et ce sera une leçon que vous n'enseignerez pas rapidement, mais plutôt avec patience, miséricorde et compassion. C'est la leçon qui leur apprendra à faire partie de cette société, à enrichir Bergara et à changer ce coin du monde à votre avantage. »

J’entends la flûte de roseau de Selina. Quand Marçal et moi nous sommes réveillés, elle était déjà partie. Marçal était furieux, sa malédiction choquant même les meubles. Marçal se lève et se déplace pour la défier à la porte. J’essaye de continuer mon soliloque pour retenir l’attention des artisans.

« Où étais-tu ce putain de matin, eh ? Nous foutre dans la merde pendant qu’Indy et moi gérons tout ? » Il semble que les artisans n’entendent pas. J'espère que c'est le cas.

Je continue en plein volume : « Créer donc une nouvelle famille, lié par le bénéfice mutuel sinon du sang … »

« Hein ? Et pendant que vous gérez la vente de ces orphelins à ces artisans, qui les protégeront sinon moi, eh ? » Certaines têtes tournent, c’était trop fort !

« Et notre grande dame est revenue ! Marçal, je t’en prie, déplace ta querelle d’amant dans ta chambre où elle pourrait trouver une fin heureuse. » Je suis douché par gaspacho alors que l’homme à ma droite explose en riant. Lui et quelques autres étaient là hier soir et ont vu leur baiser maladroit.

Marçal me regarde, trop en colère pour maudire. Je vois que j'ai blessé mon ami. Mais si j’ai les laissais discuter, ils auraient pu annuler nos progrès et compromettre l’apprentissages ?

Marçal revient dans notre chambre. Selina le regarde partir, puis le suit dans la chambre. L'homme à ma gauche est distrait par les sept points de suture que j'ai faits dans le cou de Selina la nuit dernière.

« Et maintenant, j’ai hâte de connaître vos raisons pour accueillir un orphelin, d’entendre ce que vous apprécieriez chez un apprenti potentiel – un apprenant rapide, bonnes manières, fidélité – et d’entendre toutes vos questions. » Dis je, scrutant les artisans.

Les Marchands de Bergara acceptant des apprentis

J'aimerais vraiment parler à beaucoup de ces hommes, si je n'étais pas si préoccupé par Marçal.

Cells fait cinq minutes que je l'ai humilié publiquement.

D'abord, ses sourcils se lèvent et il recule, comme choqué par un coup sournois ; immédiatement embarrassé, un léger détour, le visage baissé ; puis sa rage à l'insulte serre les yeux vers ses narines ouvertes ; finalement, il a enfilé un masque, une expression vide pour cacher ses émotions à la foule.

J'avais déjà vu sa colère plus de fois que je ne pouvais compter, mais pas tellement qu'il ne pouvait pas l'adoucir avec son humour, l'adoucir avec sa bouche de soldat.

Je l'avais blessé cette fois.

Pendant que je m'occupe avec des artisans, j'entends leur argument continuer dans la chambre, mais je jure qu'il y a trois à peut-être cinq voix différentes. Heureusement, il semble que le débat prolongé ne dérangeait aucun des artisans.

Pendant que l'imaginatif et persuasif Arnaud Marcos parle de ses notions curieuses confondant un orphelinat pour une entreprise rentable, je suis distrait par le réapparition de Marçal. Il marche directement vers l'aubergiste Antoine.
Marçal couvre sa bouche, il sait que je peux lire les lèvres, mais je sais ce qu'il fait : il prenait de l'argent de la coffre-forte et rendrait visite aux soldats aujourd'hui. Nous avions prévu de partir ensemble.

Quand je fais de nouveau attention à la conversation, Arnaud Marcos a convaincu Ricaut Flamenco de ses notions excentrique, et Célestina Arroyo et Teiric Mestres me vexe avec des questions trop détaillé. Je me manque Marçal, il pourrait vraiment m'aider en ce moment.

Le bonne côté : Arnaud Marcos est un homme captivant. Je dois me rappeler de visiter sa boutique et de le lier d'amitié.

« Mademoiselle Arroyo et monsieur Mestres, Vos inquiétudes sont normale, l'écrivain peut les noter dans vos contrats. Je m'excuse, monsieur Marcos, parlez-nous de vos idées pour rentabiliser l'orphelinat. » Dis-je amicalement.

« C'est bien simple ! » annonce l'armurier avec applomb
« Bon, les bébés ne sont pas en âge de travailler, certes,
mais en grandissant on peut louer les services des enfants,
ça les entraine à travailler,
pour les préparer à entrer en apprentissage ... »

« Ah, c'est génial. Trouver des emplois pour les orphelins à la fois rentables et éducatif, c'est synergique. Je propose que les bénéfices pourraient également financer les repas et l'hébergement des apprentis, contribuant ainsi à apaiser les inquiétudes de mademoiselle Arroyo et monsieur Mestres. » Je réfléchi à haute voix. Je dois faire attention de ne pas être piège dans les détailles : il y a encore tellement de choses importantes à arranger... Je ne peux pas embaucher un secrétaire pour l'orphelinat assez tôt.

« J'ai une autre problème que je voudrais solliciter vos suggestions. Le temple du bâtard est hors de la ville, en dehors des murs de la ville. Ce n'est pas un endroit approprié pour héberger le plus grand nombre des orphelins. Savez-vous d'un immeuble sous-utilisé en ville que nous pourrions rénover ? Si nous l'achetons ou si nous persuadons le propriétaire de faire un don de bienfaisance, il pourrait servir de garantie pour le capital de démarrage de vos investissements. »

« Il serait pourtant beaucoup plus simple d'utiliser l'espace dégagé qui est là-bas pour monter rapidement une structure ... » commence le charpentier du groupe
« On commence par une bonne charpente, on cloisonne en bois comme pour une grange, au moins ça fait un abri pour commencer, et vous pourrez le dessiner en fonction des besoins de l'orphelinat.
Puis, ensuite seulement, on double par l'extérieur les cloisons extérieures en pierre ...
Ça occupera les orphelins en âge de faire quelque chose de leurs mains et qui n'aurait pas encore trouvé de place en apprentissage,
comme ce sera pour eux, ils y mettront plus d'application, cela nous aidera à former des jeunes gens aux métiers de la construction et de la reconstruction ...
Les tout-petits voudront participer, on leur confiera de toutes-petites tâches, comme de donner les clous... rien de lourd ou de compliqué. Par contre, pour les plus grands, sans parler d'un vrai apprentissage, la construction de leur orphelinat permettra de poser les bases du métier, et ce sera l'occasion pour eux de voir s'ils préfèrent la couverture, la charpente, la menuiserie, la maçonnerie, ou autre ...
Par les temps qui courent, ce ne sera pas vain ...
Il parait qu'il y a des villages entiers à reconstruire en Caribastos ... On m'a demandé si je pouvais y envoyer des Ouvriers-Compagnons ...
Une fois qu'ils auront posé les bases de leur orphelinat, on pourrait toujours les envoyer là-bas ... la main d’œuvre y manque et cela leur permettrait d'apprendre des métiers utiles ... »

18 septembre 1466, 11 heures

« C'est magnifique ! Merci vous tous pour vos conseilles. » Ugh, c'est presque l'heure du déjeuner et j'ai beaucoup d'autres choses à gérer.


Quatre nobles inférieurs que je ne reconnais pas entrent dans la salle à manger. L'un parle à l'aubergiste pendant que les autres attendent. Puis ils partent. Étrange, je ne me souviens pas qu'ils soient restés la nuit.

« Y a-t-il d'autres préoccupations urgentes, ou devons-nous attendre plus tard cette semaine lorsque nous confierons les orphelins à vos soins? » Dis-je en secouant doucement la tête pour suggérer de suspendre nos relations plus tard.