« Ha! Ha! » Je ris en préparer mes aveux. « Je ne suis pas ici pour un inspection en soi, mais j'avoue d'être un mite tiré inexorablement par la bougie de la beauté. » J'approche son établi d'un pas, mes yeux explorant son travail.

« D'aussi loin qu'Oby, j'avais entendu les gens parler de la beauté de Bergara. Quand je suis arrivé, je l'ai trouvé, j'étais captivé, et maintenant je m'incinère dans la tache de sauver les orphelins de Bergara. » Soupir-je.

Arête ça ! Toujours en soupirant. Elle ne veut pas t'entendre parler de tes fardeaux !

J'approche son établi d'un deuxième pas, mes yeux explorant ses mains. « Et maintenant, voyant le beauté que vous apportez au monde, je me trouve peu enclin à discuter des orphelins ... » Je regarde ses yeux, « mais plutôt captivé par votre travail. »

N'ai-je pas dit que je ne veux pas parler des orphelins ? Juste un petit pause, bon sang !

« Bien sûr, et vous n'êtes pas la première personne à me dire la même chose. Mais ce ne sera pas moi qui sauverai les orphelins ; mon but ce n'est pas de mettre du jambon dans leurs bouches tous les jours. C'est d'utiliser les arts pour inspirer les gens de Bergara de le faire eux-mêmes. C'est de construire une culture de compassion qui durera après mon départ. » J'ai envie de soupire, mais je me retiens et essaie de changer de sujet.

« Mais assez de ma quête infinie, parlez-moi du beau travail que vous faites avec vos mains, et comment un apprenti pourrait vous aider ... »

Mince ! J'ai bouclé la boucle et mentionné à nouveau les putains d'orphelins.

C'est le genre de travail qui nécessite un souci du détail ... et un œil proche. Est-ce une invitation?

Je m'approche de son établi, jusqu'à ce que nos épaules se touchent.

Quand Indibil s'approche pour regarder, la joaillère se recule de quelques pas pour lui laisser le champs libre.
L'ouvrage est précis et délicat, Indibil ne trouve pas la réparation.

Faisant des bruits réfléchis, je retourne le délicat bracelet dans ma main.

« Je ne vois pas le défaut ; pouvez-vous me le montrer ? » Dis-je en tendant ma main.

« C'est le petit anneau juste à côté du fermoir. » dit-elle sans s'approcher
« Si vous ne le trouvez pas, c'est que j'ai bien travaillé... »

Je remets le délicat bracelet et je recules de quelques pas. « Vous avez un vrai sens du détail qui me manque dans ce travail. Comment avez-vous débuté dans ce métier, qu'est-ce qui vous y a attiré ? »

« Hé hé ! » je secoue la tête en regardant le sol, « Je ne peux pas imaginer la vie d'une orpheline, mais je connais ce genre de ... flexion sexuelle. »

Je me racle la gorge avant de continuer : « Je suis le septième fils de la famille Solanilia. Quand j'étais petit, mes frères m'habillaient avec les vêtements de ma sœur morte. Ensuite, ils m'ordonnaient de danser et de chanter, ou me battaient quand je refusais. Un de leurs nombreux tourments. »

Pourquoi pense-tu qu'elle veut entendre les histoires de ton enfance ?

Ajoutant de la vigueur à ma voix, je change de sujet : « Et maintenant, nous ne sommes pas si différents: nos formations androgènes nous ont donné des professions qui apportent la beauté au monde, si ce n'est peu. »

Je soupire alors que mes pieds tourne vers la porte et toute ma posture devient flasque. Un changement de plans alors : tout d'abord, terminer cet conversation aussi vite que possible, puis aller à la loutre farcie et dîner seul ...

« Je m'excuse si je semble plaisanter sur vos parents. En fait, je suis désolé pour ta perte. »

Je hause les épaules, et j'aimerais tout de suite ne pas l'avoir fait.

« Sur le sujet d'un apprenti, que prioriseriez-vous? Aptitude, obéissance, garçon ou fille ? »

« Considérez que c'est fait. J'espère revenir demain avec un candidat approprié. » S'inclinant gracieusement, je prends congé de la joaillère et je reviens a la loutre farcie.

Heu ? Il n'a pas spécifié s'il prend aussi une fille pour la maison ...

« Un instant, Antoine ! » je me relance dans la rue, brandissant un pîvaz d'argent pour attirer un oursin des rues.

« Hé, petit coquin ! Tu sais l'atelier de Teodor Berbel ? Très bien ! Va là bas et lui demander s'il veut aussi une fille avec les quatres garçons. » Je lui vise en une manière badine et feuilletez la pièce avec mon pouce dans sa direction.
« Ramenez la réponse du géant pour un autre pîvaz ! » Beugle-je avec une sourire saugrenue.

L'aubergiste ne peut quitter son comptoir ...
Mais il envoie aussitôt un commis de cuisine poser la question ...

« A part cela, Messire ?
Désirez-vous manger ? boire ? »