DarkDamor a écrit :
Ou plutôt le warpriest. J'aimerai bien comprendre les raisons qui pousseraient à orienter un personnage plutôt vers un warpriest qu'un prêtre doté d'un dip de guerrier ou barbare.
Et l'arcaniste. Même raison sur le warpriest.
Du coup, l'intérêt porte plutôt sur l'aspect technique des classes hybrides ou sur les concepts qu'elles permettent de jouer ?
Oui, je sais que "les deux... est une bonne réponse". C'est juste pour savoir s'il vaut mieux ouvrir un sujet par classe ou un sujet générique sur les classes hybriques.
Citer :
Et sinon une petite digression sur l'E6, ta préférence pour l'E8 (il me semble), ainsi que les raisons qui pousseraient à utiliser un tel système plutôt que le classique.
Alors jusqu'à récemment, je préférais effectivement l'E8 pour plusieurs raisons:
- parce que c'est communément le "sweet spot"
- parce que pas mal de classes gagnent une capacité pouvant servir de "capstone" à ce niveau (2ème pouvoir d'école ou de domaine, dirge of doom du barde et l'activation en action de mouvement, le 2nd jugement de l'inquisiteur, etc.)
- parce que même en limitant les listes de sorts au lvl.3 max., les slots supérieurs permettent d'utiliser les métamagies
Mais en approfondissant un peu, je me suis rendu compte que ça engendrait pleins de dommages collatéraux, comme les classes à BAB¾ accédant à un BAB+6 (donc attaque itérative, accès à des dons réservés aux martiaux, comme feu nourri, frappe décisive, ou les dons de manoeuvres supérieurs), les semi-casters qui gagnent à des effets de sorts 4 avec leurs sorts à accès rapides (confusion du barde, ancre dimensionnelle chez l'inquisiteur...), et donc, que ça pourrissait un peu plus les classes à full-BAB.
Du coup, maintenant, je serais plus en faveur d'un E6 avec accès anticipé à certaines capacités de classe pour que chacune ait un pouvoir "capstone" au niv.6. Ça donne un peu plus de boulot, mais moins de conséquences imprévues.