Huitième rapport de le conclave du lagon.

Scribe : Dasham.

Dasham : J'ouvrirais cette séance par une requête. Une jeune Makrini a réussis à communiquer avec le peuple mineur que j'avais mentionné à la dernière séance

Meparsh : Nous nous en souvenons, mais leur fragilité n'était pas compensés par leur cervelle, et nous avons conclus à la création de plus de pierre Ushtar pour pouvoir les exterminer.

Dasham : Mayersa, l'elfe dont je parle, a trouvé une solution élégante et efficace. Elle s'est lié d'amitié avec eux s'est faite une prophète des Dalloën

Mire : Nous lisons dans ton esprit qu'elle était prophète de Dasham

Dasham : Peu importe, le résultat est le même. Sous sa direction ils ont reconstruit et prolongé la ville sous-marine qui embarrasse mes siestes. En plus de me créer une chambre ou je puis me reposer, ils me permette d'étudier la ville des anciens. Aussi, je demande que Mayersa soit mise dans la tour de nacre à sa mort.

Meparsh : Qu'en est-t-il du peuple sans cervelle et sans coque ?

Dasham : Construire cela les as épuisé, et j'ai rendu inféconde leurs principale procréatrices. Ils se meurent.

Mire : C'est bien, déjà que tu as du mal à t'occuper d'une seule ville, alors deux

Meparsh : Mire ! Je te prie de respecter tes aînés. Qu'en est-il de Mireberes ? Tu nous parlait d'une nouvelle méthode a expérimenter sur des animaux au dernier conseil.

Mire : Oui, la peau des fouleur de terre, une fois correctement travaillée, peut être utilisé en une façon que les Makrini nomment cuir et ainsi produire une nouvelle peau solide et transportable.

Meparsh : Ceci doit donc être partagé, nous te remercions. J'ai une nouvelle également. Non loin de Meparshem se trouve un gisement assez accessible d'une pierre brillante. Cette pierre semble rendre les elfes heureux et donc plus sensible à mes ordres. Une caste de mineur devrait être mise en place.

Dasham : Autre chose, un des Makrini a créé un système pour se souvenir des mélodies en les notant. Grâce à cet ajout nous pourrons développer une véritable chorale religieuse.

Meparsh : J'ai réfléchis quand aux fruit dont les Makrini te loue Mire : Ces fruits sont périssables, mais les Anciens avaient des méthodes pour les reproduire, met les dessus.

Dasham : Bien, la séance peut être terminée alors.

Meparsh : Une dernière chose, ce conclave sera bientôt a quatre, je vais envoyer des éclaireurs pour implanter une nouvelle ville.

Neuvième rapport de la Voix du lagon.

Scribe : Dasham
Non présent : Viganpe

Meparsh : Bonsoir, je voudrais d'abord féliciter Viganpe qui a réussi à investir un nouveau lac, comment se porte la colonie ?

Mire : La colonie se porte très bien malgré un accident de voyage. Viganpe a du maintenir un contrôle mental strict sur les colons.

Meparsh : Que c'est-il passé exactement ?

Mire : L'aquarium de Viganpe c'est renversé lors d'une attaque de bandit et a été brisé. Mais Viganpe assure qu'à présent il est loin de tout danger, même si la situation l'a affolé un moment.

Meparsh : Les bandits ?

Mire : Morts, ils ont travaillés comme esclave dans la nouvelle ville de Viganpesh puis Viganpe les a dévorés.

Dasham : Bien, apparemment Meparsh, ta suggestion était très bonne, mes recherches ont donnés de nouvelles techniques pour faire pousser le riz, les fraises et les pommes en grandes quantités. Les Makrini ont déjà commencé à défricher de grand champs a se partager les techniques, vos villes devraient en profiter bientôt.

Meparsh : Bien. Je viens de communier avec le très ancien père.

(en abyssal) « Búkh nurzg-isn'bak bhi prug ash bazglonakashi'umbúbaim-i krar tuglna »

Quinzième rapport du Tribun Rahn Sir

Notre dernier arrivage se comporte très bien. Malgré un duel de deux mâles, les licornes sont des animaux assez calme tant qu'ils ont de l'herbe à volonté et qu'on ne les dérange pas. Je ne renouvelle pas les inquiétude quand à m'occuper un sus de mon exploitation de ces animaux, les dresser n'est ni éprouvant, ni vraiment difficile.

Bon de toute manière personne ne lit ces rapports, je ne vois pas pourquoi je m'inquiète à les faire, tant que je note le nombre de boisseau de riz, il n'y a des problèmes pour personne. Alors je vais continuer la correspondance avec l'être qui me lira peut être, quand on retrouveras ces rapports dans une bibliothèque poussiéreuse.

Je m'inquiète pour mon fils, Neluas Sit, je ne dis pas que les jeunes ne devrait pas tomber amoureux, je ne suis pas un vieux barbon qui râle dès qu'un jeune bouge un doigt hors de la voix qu'il a tracé pour lui.

Mais tout de même, là on parle de mariage. Ils se sont engagé pour trois enfants, autant dire pour toute une vie. Je ne comprend pas comment ils en sont venus à ce point. Après tout ils ne sont pas du même milieux. Elle est clairement plus intelligent que lui, tandis que Neluas est fait pour les travaux des champs.

J'essayerais de mettre des clauses pour renforcer notre familles, mais ils semblent avoir déjà fait le contrat ensemble.

Sinon je suis en contact avec Faillar Naïm, de Dashamir. C'est amusant, il a commencé à domestiquer des autruches lui, et m'a fait part de ses travaux. Les autruches fournissent un bon cuir, des plumes pour nos arcs. Mais les licorne peuvent fournir tellement plus. Je m'inspirerais de ses techniques.

Un fier navire longe les côtes .

Sur le pont, d'habiles marins sont à la manœuvre, sans effort apparent.
D'autre admirent simplement le paysage en dessinant.
L'équipage est vêtu d'ample chemises blanches et de pantalons ajustés aux couleurs vives.

Ce qui se passa lors du débarquement de ces intrépides marins, nul ne le conta jamais.

Les autochtones ne laissèrent aucun survivant.

argh!