Pour ceux que ça intéresse...
► Afficher spoilerFiddler
Rôdeur (chasseur) 3 (900 PX)
Humain (h), chaotique neutre
Héros du peuple
[ CARACTÉRISTIQUES ]
For 12 (+1) Dex 16 (+3) Con 14 (+2) Int 10 (+0) Sag 15 (+2) Cha 11 (+0)
[ MAÎTRISES ]
Bonus de maîtrise +2
Sauvegardes For +3, Dex +5
Compétences Discrétion +5, Dressage +4, Nature +2, Perception +4, Survie +4 (Perception passive 14)
Armes armes courantes, armes de guerre
Armures armures légères et intermédiaires, boucliers
Outils outils de menuisier, véhicules (terrestres)
Langues commun, gobelin
[ COMBAT ]
pv 28 ; DV 3d10
Init +3 ; Vitesse 9 m
CA 18 (chemise de mailles 13, bouclier +2, Dex +2, défense +1)
Rapière. Corps à corps : +5 (1d8+3 perforant ; finesse)
Arc long. Distance : +5 (1d8+3 perforant ; munitions (portée 45 m/180 m), lourde, à deux mains)
[ SORTS DE RÔDEUR ]
Caractéristique d'incantation Sagesse ; DD de sauvegarde des sorts 12 ; Bonus d'attaque avec un sort +4
Emplacements 3
Sorts connus (-) / 3
- Niv 1 : soins, marque du chasseur, frappe piégeante
[ CAPACITÉS ET TRAITS ]
Ennemi juré (Humanoïdes)
Explorateur-né
Style de combat (défense)
Proie du chasseur (Briseur de horde)
Sens primitifs
Hospitalité rustique
[ ÉQUIPEMENT ]
Rapière(2), arc long, chemise de mailles, bouclier, outils de charpentier, outils de menuisier, 20 flèches, sac à dos, pied-de-biche, marteau, piton (10), torche (10), boite d'allume-feu, rations/1 jour (10), gourde, corde en chanvre de 15 m, pelle, pot en fer, vêtements communs, bourse
Poids de l'équipement 61 kg - Coût 171.8 po
10 po
Poids des pièces 0.1 kg
[ PERSONNAGE ]
Taille M / 1,75 m / 70 kg ; Âge 25 ans
Yeux Bleu ; Peau ; Cheveux Brun
Apparence du personnage Vu de loin Fiddler ne ressemble à rien. Un vague point marron grossissant à vue d’œil au fur et à mesure qu’il s’approche. Ses armes se reflètent dans le lointain, éblouissant les regards de ceux qui s’attardent trop sur lui. Il aime le contact de ses rapières, la poignée de cuir l’apaise et le rassure. Même rangées dans leur fourreau, il ne peut s’empêcher de les toucher.
En approchant on distingue nettement mieux son arc long accroché dans le dos. Il ne s’en sert pas souvent, mais ne le sort jamais pour rien. Il fait mouche à tous les coups. Son agilité lui permet de se mouvoir tel un félin dans la forêt, son lieu de prédilection. D’un air joyeux il sifflote au milieu des bois, passant inaperçu près des arbres, qu’ils aiment escalader.
Ses cheveux bruns, son regard pénétrant, lui donnent l’air d’un enfant qui pétille de joie. Mais il cache bien son jeu, il ne recule devant rien pour assouvir sa vengeance. Les riches ont assez profité de leur opulence, place maintenant aux pauvres, aux gens du peuple, ceux qui vivent dans la misère depuis des lustres. Les temps changent, et Fiddler a bien l’intention de lui donner un coup de main.
Son seul défaut, et oui il n’en a qu’un, réside dans les vices et la boisson. Il évite les villes comme la peste, non pas qu’il déteste les structures ou les administrations, mais son penchant pour les jeux et l’alcool, lui apporte régulièrement des problèmes.
Traits Si quelqu'un est en difficulté, je suis toujours prêt à lui apporter de l'aide.
J'utilise mal les mots longs lorsque j'essaye de paraître intelligent.
Idéaux Liberté. On ne doit pas permettre aux tyrans d'opprimer le peuple
Liens Leosin Erlanthar, un moine errant, vous a une fois sauvé la vie. Il vous a envoyé un mot urgent le priant de le retrouver au petit Royaume. Il est temps de payer cette dette.
Défauts J'ai un faible pour les vices de la ville, en particulier pour les alcools forts.
Historique Héros du peuple (J'ai volé un marchand corrompu pour aider les pauvres)
Histoire du personnage Fiddler description :
Vu de loin Fiddler ne ressemble à rien. Un vague point marron grossissant à vue d’œil au fur et à mesure qu’il s’approche. Ses armes se reflètent dans le lointain, éblouissant les regards de ceux qui s’attardent trop sur lui. Il aime le contact de ses rapières, la poignée de cuir l’apaise et le rassure. Même rangées dans leur fourreau, il ne peut s’empêcher de les toucher.
En approchant on distingue nettement mieux son arc long accroché dans le dos. Il ne s’en sert pas souvent, mais ne le sort jamais pour rien. Il fait mouche à tous les coups. Son agilité lui permet de se mouvoir tel un félin dans la forêt, son lieu de prédilection. D’un air joyeux il sifflote au milieu des bois, passant inaperçu près des arbres, qu’ils aiment escalader.
Ses cheveux bruns, son regard pénétrant, lui donnent l’air d’un enfant qui pétille de joie. Mais il cache bien son jeu, il ne recule devant rien pour assouvir sa vengeance. Les riches ont assez profité de leur opulence, place maintenant aux pauvres, aux gens du peuple, ceux qui vivent dans la misère depuis des lustres. Les temps changent, et Fiddler a bien l’intention de lui donner un coup de main.
Son seul défaut, et oui il n’en a qu’un, réside dans les vices et la boisson. Il évite les villes comme la peste, non pas qu’il déteste les structures ou les administrations, mais son penchant pour les jeux et l’alcool, lui apporte régulièrement des problèmes.
Background
Je ne sais pas ce qui m’a pris d’acheter ces parchemins vierges au marchand ambulant qui traversait la forêt. L’autre jour j’ai observé un vieillard assis sous un arbre rédigeant des lignes, sur ce qui paraissait être un manuel, il avait l’air si concentré dans son ouvrage, qu’il ne m’a pas remarqué. Lorsqu’il est allé se baigner dans la rivière, j’en ai profité pour jeter un œil à son livre. Il parlait de sa vie, des rencontres qui l’avaient marqué. L’écriture n’était pas très lisible mais les mots employés montraient sa sincérité.
Aujourd’hui c’est à mon tour de mouiller la plume et de m’essayer à un exercice que je n’ai jamais pratiqué.
Fiddler est mon nom, depuis aussi longtemps que je m’en souvienne c’est toujours ainsi qu’on m’a appelé, Fiddler. Court, rapide, se dit d’un trait tout comme les flèches que je plante dans mes ennemis, même si je préfère utiliser ma rapière, mais j’en reviendrai plus tard.
Élevé dans une famille de menuisier près du Royaume des Pins, à Elingarth, j’ai commencé à manier un marteau avant même de savoir marcher. Je jouais avec ma sœur dans les bois, on s’accrochait aux arbres, on construisait des cabanes. Je ne vivais pas dans l’opulence mais je ne manquais de rien.
Un jour, solide gaillard, je travaillais avec mon père, coupant des arbres dans les bois, lorsque de pauvres hères nous alpaguèrent. Ils nous ont raconté comment un fielleux marchand les avait ruiné, prenant toutes leurs économies, promettant des gains hautement supérieurs, mais dont ils ne virent jamais la couleur. Apparemment ce vil marchand traversait les villages pillant les pauvres et négociant avec les plus riches, et justement il arrivait par ici… Sans attendre plus longtemps, je partis avec mon père, ma rapière, mon bouclier et quelques fermiers du village tendre un piège au marchand. Nous l’avons attrapé dans la forêt et dépouillé de tous ses biens avant de le lâcher nu comme un ver, à bord d’une petite barque sur le fleuve. Tout son argent fut distribué aux villages qu’il avait ruinés. Les marques d’affection et les remerciements qui en découlèrent m’ont donné envie de continuer dans cette voie-là. Depuis ce jour, j’erre dans les bois du Royaume des Pins, traquant les caravanes des riches pour remplir les caravanes des pauvres. J’ai beaucoup appris. Je chasse, je peux vivre en forêt et me mouvoir discrètement. Les animaux ne me voient pas comme une menace.
Une seule fois j’ai failli mourir. Un marchand peu scrupuleux avait embauché des mercenaires plus coriaces que d’habitude. Sans l’intervention de Leosin Erlanthar, un moine errant, je serais mort sous leurs coups. Je lui dois la vie et espère bien pouvoir lui rendre la pareille. Nous avons vécu dans les bois pendant quelques temps. Il m’a appris le gobelin, de nombreuses choses sur la nature avant de partir du jour au lendemain.
Et justement je viens de recevoir un message de sa part, me demandant de me rendre au Petit Royaume.
Je prends mon sac, me lève et commence mon voyage. Je quitte ma famille pour de bon, je n’ai jamais fait un voyage aussi loin, j’espère que tout va bien se passer. J’ai hâte de revenir pour tout leur raconter, peut-être à l’occasion je prendrais à nouveau la plume pour rédiger l’histoire de ma vie sur quelques parchemins…
Alliés et Organisations Leosin Erlanthar, un moine errant qui m'a sauvé la vie, contre les mercenaires d'un marchand peu scrupuleux.