Ok alors ça m'emballe
Kazim Kazil a écrit :
c'est de la SF pour moi ça, pas du medfan
Les cas ou les genres se mélangent sont courants (star wars qui est à la fois de la fantasy et du space opera, un sous genre de science fiction).
Citer :
Me concernant, je rédige mes scénarii en fonction de mes joueurs, un background détaillé sera donc le bienvenue, car il sera intégré à la campagne,
De plus je vous demanderais ce qui vous fait kiffer dans le JDR et pareil j'essaierais de vous le donner,
Quel est votre moteur dans le JDR ? L'argent, la puissance, la renommée, les interactions entre Pjs et PNJs, monter de niveau, faire évoluer mentalement votre Pjs, etc etc
Les dilemmes moraux, ce qui implique des personnages assez fouillés et qui ont toujours des squelettes dans les placards (ou qui en auront au cours de l'aventure), qui peuvent être stéréotypés dans une certaine mesure mais jamais des caricatures (la frontière n'est pas évidente à cerner).
Les évolutions de mentalité et d'ambitions des personnages.
J'aime bien jouer des personnages qui présentent certains handicaps (des obsessions, des liens amicaux ou familiaux, des obligations morales, des comportements particuliers, d'une manière générale des choix de conception davantage motivés par l'intérêt narratif que par l'intérêt technique) dans la mesure où :
- la table n'est pas une course à l'optimisation
- ces handicaps à intérêt narratifs ne sont pas punitifs (ça m'est déjà arrivé qu'un mj s'acharne sur le seul personnage qui présentait une faiblesse, c'est lourd)
J'aime bien aussi que la solidarité entre personnage soit explicitée par les joueurs et joueuses, ce qui permet des tensions et des conflits sans pollution par des raisonnements meta et avec la certitude (et la nécessité) que les tensions et conflits ne vont pas mettre fin au groupe (puisque tout le monde aura en tête l'idée que ça ne doit pas mettre fin au groupe). Ça implique évidemment que ces liens de solidarité soient travaillés pour qu'ils ne soient pas vécus comme une contrainte méta, ce qui rendrait les interactions un peu creuses (et le concept de "groupe" aussi). Et évidemment qu'on ait des échanges hors-jeu réguliers à ce sujet.
Je préfère qu'on tire un voile sur la violence (que ce soit torture, viol, chantage...) et sur le sexe, et qu'on marque une limite à la violence gratuite (ça n'a aucun intérêt narratif, c'est généralement un défouloir pour les personnes).
Lignes et voiles pour celles et ceux qui ne connaissent pas. Pour moi c'est la condition permettant de jouer dans un univers sombre dans lequel la violence est présente, de ne pas l'ignorer, d'interagir avec, sans que ça devienne malsain.
Sinon pour le rodeur façon Bear Grylls tu comptes le jouer avec son équipe de tournage et son toubib qui le suivent ?