Vu qu'il va falloir reprendre tous vos jets (ma faute, j'avais oublié de vous dire qu'il fallait lancer l'intuition avec)
et que cet élément de RP permet d'assurer une meilleure continuité de l'histoire ...
on garde ce magnifique échange Ley - Lucas.
Le contenu du pack Polaire se trouve ici, avec les autres
cela vous permettra de choisir comment vous équiper.
Ensuite vous pourrez vous lancer sur le jeu de la disposition des packs sur les traineaux ... (ma faute encore, j'ai oublié les pack P, ils ont la même taille que les A)

Avant de partir, Marvin s'est changé et a mis une combinaison polaire.
Il n'allait pas rester en orange sur cette glace et surtout il serait congelé.

Puis il tenta de conduire l'attelage 2.

Marvin a prit son temps pour maitriser le chariot et cela semble avoir porter ses fruits.
Certes, le voyage a duré 11h50, mais cela valait le coup.

Suite au petit discours de Ley, Lucas prit de grande inspiration, tentant, bien qu'avec peu de succès, de se calmer. La séance de haute voltige sur traineau ne l'aida pas vraiment non plus. Il faut dire qu'il avait dès le début fait connaissance de la neige, et ce de façon très rapprochée. Il avait vite découvert que leur relation resterait glaciales. Entre la nuit qu'il avait passé, le reproche de Ley, les chiens qui semblait n'en faire qu'à leur têtes, la neige qui été rentré dans sa combinaisons... Non seulement il ne s'en sortait pas mais en plus son caractère commençait à virer à l'aigre.
Non mais qu'est ce qu'elle croit, elle ? Comme si elle pouvait comprendre. Comme si elle savait ce que souffrir voulait dire.
En lui-même, il savait parfaitement que ses paroles étaient injuste, mais rien n'y faisait. Il avait besoin de se défouler, et Ley offrait pour l'instant un excellent bouc émissaire. A croire qu'il voulait se punir lui même puisque quelques secondes plus tard, le traineau se prit une pierre qui le déporta sur le coté. Droit dans un rochers. Le traineau ne sembla pas apprécier beaucoup, mais lui non plus n’apprécia pas de s'envoler dans une congère pour se détruire le genoux sur ce qui était sans la seule pierre à 30m à la ronde, si on exceptait celle qui l'avait fait tomber.
Étonnamment, moins il pensa à sa conduite, plus il s’améliora, jusqu'à atteindre un niveau presque potable. En arrivant, cependant, il se réveilla au sensation et se rendit compte que son corps réclamait à corps et à cris une meilleur isolation, ses yeux le piquait tant qu'il était étonnant qu'il ait réussi de voir son chemin. Il se dépêcha d'enfiler une des combinaisons de survie polaires des paquetages. C'était là, autant que ça serve.

A peine avait il poser le pied par terre, que Marvin dut s'équiper et partir en traineau.
Il avait oublié une partie de la combinaison polaire.
Il prit dans le paquetage ce qui lui manquait : une cagoule pour protéger la tête et les voix respiratoires et un masque pour protéger les yeux de la réverbération et du froid également.

La leçon de traineau commença plutôt mal pour Ley. À peine avait-elle donné l'impulsion de départ que déjà elle avait du mal à tenir debout sur sa place tout en guidant les chiens. Faisant connaissance, elle se rendit rapidement compte que la cape ghillie était certes très bien lorsqu'il s'agissait de se camoufler, mais aussi très encombrantes et très gênante lorsqu'il s'agissait de se mouvoir rapidement et correctement.

À peine une vingtaine de mètres après avoir démarré, les chiens firent virer le traineau sans que Ley leur en ait donné l'ordre - du moins, pas volontairement. La secousse ne fut pas bien importante, mais le poids de la cape et la fatigue suffirent à avoir raison de l'agilité naturelle de la panthère. Cette dernière se retrouva par terre, sur les fesses, à regarder bêtement son moyen de transport continuer sans elle. Avec une furieuse envie de hurler.

Après l'avoir rattrapé, et remonté à sa place, la suite du voyage se déroula un peu mieux. Elle avait beaucoup de mal à diriger les chiens, et faisait nombre de détours et de virages inutiles. Plusieurs fois, elle évita de justesse des endroits où la glace était plus fine, voire absente. Mais dans l'ensemble, et exception faite de sa frustration qui augmentait peu à peu, elle ne se débrouillait pas trop mal. Elle même réussit à apprendre deux ou trois trucs, et évita de nouvelles gamelles.

Pour un temps, du moins : après avoir accompli un peu plus de la moitié du trajet, une légère secousse dû à un passage dans une zone au terrain moins égal fut la cause du relâchement d'un des nœuds d'une des cordes soutenant l'ensemble des packs, sur le côté droit du traineau. S'en rendant compte un peu tard, elle ne put que tendre son bras et sa min droite pour empêcher la plupart d'entre eux de tomber. Malgré cet effort, un pack de nourriture pour chien glissa et chuta sur la glace, alors même que les bêtes continuait de tirer le traineau en avant. Fort heureusement douée d'excellent réflexes, elle réussit en tirant légèrement sur la longe pour ralentir l'attelage et en se penchant en arrière à agripper - sans pour autant vraiment saisir - le pack avec les griffes de son gant gauche. Elle passa une bonne dizaine de minute dans cette position particulièrement précaire a essayer de saisir pleinement le pack pour le remonter et se redresser, sans chuter au passage et sans lâcher la pression empêchant que d'autres packs ne glissent.

Après avoir résolu ce problème, et refait le nœud responsable de ses ennuis, Ley pu de nouveau souffler et se relâcher un peu. Les chiens semblèrent accepter de lui accorder un peu de répit, ce qui lui convint bien. De nouveau, elle fit des progrès, et compris quelques astuces sur comment diriger son attelage sans les rendre fou en tirant trop ou mal sur les longes, et comment mieux se positionner sur sa place.
Tout alla bien, jusqu'à ce que sa mauvaise nuit ne lui joue un nouveau tour. Avec la confiance en elle qu'elle commençait à acquérir sur son traineau, et une soudaine poussée de nervosité, d'excitation, et d'adrénaline lui donna des ailes.
Ailes qui lui permirent de s'envoler jusqu'à atteindre un sommet de stupidité : elle lâcha peu à peu les rennes, et sentant que tout allait bien, finit par complètement ouvrir les mains et les bras, s'offrant à la sensation de vitesse et à la sensation agréable du vent contre elle, dont le froid était efficacement réduit par sa tenue. Ce qui dura à peine une fraction de seconde : les chiens ne tardèrent pas à refaire n'importe quoi en sentant leur longe libre de contrainte.

Ley arriva parmi les premiers au point de pèche, peut être même la première. Certes, il n'y avait plus que ses pieds sur la place du conducteur, mi-cramponnés mi-coincés par les griffes de métal entre deux planches, tandis que le reste de son corps suivait derrière en glissant, dos sur la glace et les bras tendus dans une vaine tentative de se redresser. Mais elle était arrivée super vite, et c'est ce qui comptait, non ? Non... ?

Après de nombreux efforts, grognements, trépignement, coups de fatigue et envie de découper les chiens pour les manger à la place du poisson, Ley finit par se retrouver debout, libérée, une paire de ski de fond aux pieds et les chiens détachée.

Après avoir fait comprendre au guide (s'il est déjà là) qu'elle a perdu ses gants en route par une série de gesticulations, elle se met en route. Elle garde ses mains "au chaud", ou plutôt dans une tiédeur relative à l'intérieur de poches de sa combinaison (ou, si elle n'en possède pas, sous ses aisselles avec les bras repliés. Elle est bien meilleure en athlétisme qu'en conduite de traineau, c'est une chose certaine ; par ailleurs, elle a déjà eu l'occasion de pratiquer un peu de ski de fond lors de ses entrainement avec les Neptune's Hawks. Mais l'étendue de son champs de recherche est vaste, même si elle pense avoir une vague idée d'où elle a perdu ses gants.

Allez, ça doit pas être trop dur, si les chiens sont pas trop bêtes. Et de toute façon je n'ai pas le choix.
Olya monte sur un des traineaux après s'être équipée et s'écrie : « Mush ! »
Pas de réponse de la part des chiens. Et ainsi commence une longue épreuve pour Olya. Au départ, se lancer dans la course. Ensuite, s'y maintenir.

« Non pas par là ! Pas par là ! »

Ce qui est plus facile à dire qu'à accomplir.

« Avancez bordel, d'où vous sortez bande de feignants ? »

Clairement plus facile à penser qu'à réaliser.

« Nononononon ... pas les bosses ! »

Le relief pas toujours plat, malgré la glace.

« Arrêtez maintenant ! Stooop ! Stop stop stop ! »

Sa chevelure oscillant entre le noir total et un vert également sombre, passant de l'un à l'autre entre coups de "rien ne marche" et de "oh non pas ça !".

« Mince, ça vient de tomber. Demi-tour les chiens ! Demi-tour j'ai dit !
Voilà. Et maintenant on s'arrête. On s'arrête. On ... voilà on a dépassé. Demi-tour ! »

Sa chevelure qu'on ne voit pas, emmitouflée dans son armure qu'elle est. Enfin, ses combinaisons. Ainsi que tout le reste de sa peau, mais face à ce froid, elle attend avec impatience de pouvoir revenir à l'intérieur des tentes. Au moins elle n'est pas tombée dans la neige. Pas encore.

« Mais qu'est-ce que je suis venue faire ici ?!! »

On se le demande.
Mais au final, Olya débarque sur le lieu de pêche.

Olya va me faire 3 jet d'endurance, rien que pour avoir eu la mauvaise idée de parler ... Na !

endurance c'est CON x2 ...

relance avec les bons nombres de dés, je supprime ton message précédent

Les poumons d'Olya lui brûlent ...
et tu te conteras -2d à toute action physique à venir jusqu'à nouvel ordre ...
En résumé : tu as du mal à respirer et ton corps peine déjà à survivre. Le moindre effort supplémentaire est inenvisageable ...