Borscht s'éveilla à l'endroit même où son rêve précédant s'était terminé. Il ne fut point étonné de ressentir les rafales de vent souffler intensément mais le fut cependant en entendant un murmure dans une langue qui lui parut étrangère de prime abord mais qui lui vint naturellement lorsqu'il répondit.

(en universel) « « Oui me revoilà. J'arrive. » »

Se sentant ragaillardi, Borscht s'avança en direction du murmure.

Tandis que le vent se faisait plus violent et le mettait à genoux, la cicatrice que Borscht avait au visage se mit à le tiraillait. De plus un ogre apparut et il possédait une arme impressionnante. Borscht sentit une colère intense montait en lui et qui faisait écho au vent, l'ensorceleur envoya un rayon de foudre sur l'ogre qui ne frémit même pas.

Borscht se mit à réfléchir à tout les sorts de son répertoire mais ne vit rien qui put lui être utile, il eut fallut au moins ralentir le monstre ou bien le désarmer, son sort de manipulation à distance ne lui serait d'aucun secours vu que la bête tenait son arme fermement.

Le demi-orque commença par aveugler l'ogre afin de le ralentir, puis il se mit à écouter le vent dans l'espoir d'avoir une révélation. Tout d'un coup, Borscht se mit à incanter un sort qui lui venait instinctivement, visant la massue de l'ogre il termina son sort.
Rien ne sembla se passer, excepté le fait que l'arme donna l'impression d'être devenue poisseuse. L'ogre avait du mal à la garder en main. Profitant de l'occasion, l'ensorceleur se mit à bombarder son adversaire à l'aide de ses rayons de foudre. Cependant ces derniers n'entamèrent que très peu la vitalité de l'ogre.
À la colère de Borscht s'ajouta une immense frustration, il se mit à crier : (en universel) « « Rhaaaaa j'ai besoin d'un sort qui me permette d'anéantir ce monstre, il me faut plus de puissance!!! » »

La cicatrice de l'ensorceleur le brûlait au point de faire tomber ce dernier à genoux. Il se toucha le visage afin de calmer la douleur lorsque celle ci se propagea dans ses mains qui se chargèrent d'arc électriques, Borscht ne vit qu'un seul moyen de se soulager, il visa le monstre occupé à ramasser son arme et prononça l'incantation qui lui vint à l'esprit :

(en universel) « « mestria zintos » »

Un cône de foudre jaillit des main du demi orque et vint percuter l'ogre de plein fouet, on eut dit que le tonnerre et la foudre s'étaient combinés afin de tomber sur cette créature qui ne comprit pas vraiment ce qui lui arriva.

Ben tiens voilà autre chose.


Après un court instant de découragement, l'ensorceleur se mit à réfléchir au meilleur moyen de vaincre tout les adversaires présents. L'orage continuant lentement à remplir le canyon d'eau, une idée germa lentement dans l'esprit de Borscht.
Il se mit légèrement en hauteur afin que ses pieds ne touche plus l'eau puis se concentra intensément afin de canaliser la foudre, un éclair tomba du ciel dans ses mains puis tout en incantant son sort, le demi-orque projeta la foudre dans l'eau qui recouvrait le fond du canyon et les pieds et les pieds de ses ennemis.

« (en universel) « Mestrian zintos » »
La foudre se propagea le long de l'eau et électrocuta tout ses adversaires, qui s'écroulèrent la face la première. Fatigué mais content de lui même, l'ensorceleur repartit d'un pas chancelant, laissant ses adversaires, inconscient ou mort, dans le canyon.
Vu le choc qu'ils ont pris ceux qui ne sont pas morts risquent de se noyer dans l'eau qui continue à monter.

Voyant la tempête se déchaîner et des éclairs foudroyer les adversaires inconscients, Borscht se remit en question. Avait-il été trop gentil en épargnant ses ennemis, devait-il se montrer plus dur à l'avenir et laisser parler sa moitié orque.

Malgré la tempête qui faisait rage autour de lui, l'ensorceleur se sentait apaisé, il pensa aux nombreux dangers qui les attendait lui et ses nouveaux compagnons et prit donc sa décision.

(en universel) « « Très bien, à l'avenir j'utiliserai mes pouvoirs afin de terrasser mes ennemis et non pas les laisser inconscient. Je serai comme une brise bienvenue pour mes alliés et comme cette tempête envers mes adversaires. » »

Patiemment le demi-orque attendit une réponse.