« Oh que oui ! » « Pardon...mais....je ne me sens pas très à l'aise pour faire connaissance avec ces parents qui sont supposés devenir les miens et que je ne connais pas.... »

« Prenez le temps de réfléchir sur ce que vous savez. Vos parents qui vous ont élevés au relais de poste vous ont-ils parlé de quelque chose en particulier qui pourrait vous permettre d'entre là dedans sans mauvaise surprise ? Ma présence pourra vous causer des ennuis. »

Sigismond regarde autour de lui et avise un serviteur en train de jardiner une maison de la rue. Il marche vers lui tout sourire un cerf d'argent à la main.
« Salutations l'ami. Une petite question vous savez qui habite là »Dit il en pointant de la tête la maison de Bora et en montrant la pièce.

« Je n'étais plus sûr et je ne voulais pas me tromper de maison, j'aurais eu l'air malin. Merci ! :) »

Ca vaut toujours le coup de vérifier.

Il revient vers le jeune homme.
« Allons y. »

Les deux hommes se dirigent donc vers la maison,
le portail est fermé
à clef !!!!!!
il faut sonner

« Bonjour Messieurs » dit le jeune valet à travers la grille « De quoi s'agit-il et que puis-je pour vous ? »

« Ah ? .... Eh bien ... Suivez-moi ... » le valet ouvre la grille à clefs et la referme derrière votre passage. Il avise le cheval et siffle bruyamment (2 doigts dans la bouche, pas protocolaire pour un sou, mais terriblement efficace). Ce qui provoque l'arrivée d'un gamin en courant.
« Will, tu prends le cheval de Monsieur et tu l'installes super bien : On a des «invités de marque». Fais passer le mot. »

Puis il se retourne vers les visiteurs et s'adresse à eux avec déférence : « Je vous en prie, suivez-moi ... »

« Nous vous suivons, je tiens à dire que j'apprécie votre efficacité et votre absence de pompe protocolaire pesante. Cela change de là d'où on vient. Savez-vous que le philosophe Mirgard disait que le meilleur des fruits n'avait pas besoin d'enveloppe précieuse ? Je m'y retrouve tout à fait. »

Il se tourne vers le jeune homme.
« Je ne pourrais rester longtemps, je prend déjà du temps dont je ne dispose pas pour vous accompagner. En cas de besoin écrivez à la maison Rochelune, je vous répondrais avec plaisir. »

Chuchotant, le neveu rougit comme une pivoine « Vous ... heu... écrire ? ou faire écrire ?  » avant d'ajouter : « Je vous remercie Messire de cette assistance bienvenue et fort plaisante qui plus est »

Arrivés à la porte d'entrée, la valet s'incline cérémonieusement :
« Si ces messieurs veulent bien se donner la peine.... »
il ouvre la porte et braille à la cantonade « Messire et le Fils de Madame sont arrivés ! »

Poussant le jeune homme devant lui, Sigismond entre dans la pièce et se laisse conduire jusqu'au salon où il salut en deuxième et silencieusement les maitres des lieux.

Les Maîtres des lieux sont au nonbre de 5 :
La Maîtresse + 4 suivantes, toutes occupées aux travaux d'aiguille...........

Une question ? Vu les difficultés financières du Rudoyant, qui paie pour la grande maison ? Leur budget vient d'ailleurs ?
De son regard charmeur, Sigismond affiche un sourire et demande poliment
« Puis-je discuter seul à seul avec vous Lady Elesham ? »

Sigismond ne régit pas au rappel de la bienséance.
« Le jeune homme est un peu intimidée par autant de paires d'yeux, peut-être qu'un entourage réduit sera plus facile pour lui comme premier contact. Quand à moi je suis juste là pour initier les présentations et je prendrais congé après. Après tout nous sommes en famille ici pas au milieu d'étrangers. Votre jardin est magnifique, peut-être qu'une ballade en son sein serait une bonne idée. »
Et comme ça on reste à la vue des autres pour la bienséance.

Là s'il faut faire des jets pour appuyer mon RP, je le fait

« Une promenade dans le jardin ? cela me semble acceptable .... » La jeune femme dépose soigneusement son ouvrage et se lève « Vous pourrez nous suivre à distance » dit-elle à ses dames de compagnie...

Ainsi la compagnie dans sa globalité se déplace et déambule dans la maison, présentant nombre de marques de richesses, pour atteindre le jardin.
La jeune Lady fait signe à ses suivantes de leur laisser du champ et avance en compagnie de Sigismond.

Timide, le jeune Bora reste quelques pas en arrière, à portée de voix si on l'appelle, mais à distance respectueuse pour ne as interrompre une conversation qui entend rester privée, du moins le suppose-t-il ainsi....

« Messire, vous vouliez m'entretenir d'une affaire semble-t-il sensible ..... »