Paladin
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Inscription : Oct 2013 Message(s) : 2654 Localisation : Ste-Foy, Québec
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SealgairíTerritoire: Le GéaránsiocLe nord et le nord-est du territoire des Sealgairí est formé par une haute chaîne de montagnes, le Géaránsioc (les Crocs de givres). Il s'agit de hautes montagnes dont la parois rocheuse est mise à nue, à l'exception notable des sommets qui sont couverts de neiges éternelles et qui servent de source à de nombreux torrents. Quant à elle, la frontière ouest est formée de la basse chaîne de montagne du Géarániarthar, une bifurcation du Géaránsioc. Ses flancs sont couverts par la forêt et le rock dénudé y est relativement rare. En contrebas de ces montagnes, la forêt dense s'étends sur un vaste territoire, un forêt que l'on connait sous le nom de Mórforaoise (la Grande forêt). Le Tír Sealgairí (la Terre des Chasseurs) est l'étendue qu'occupent les Sealgairí, ce qui comprend la Mórforaoise, le sud du Géaránsioc et l'est du Géarániarthar.
 La Mórforaoise
La proximité de la mer et la présence des deux chaînes de montagne a permis l'établissement d'un climat tempéré frais et humide dans la région; les arbres feuillus (chênes, hêtres, ...) y sont généralement la norme et les conditions climatiques optimales font en sorte que ceux-ci atteignent souvent de très grandes dimensions. Un fleuve aux nombreux embranchement, l'Abhainnuaine, traverse de part et d'autres la forêt, drainant les eaux de pluie et l'eau des torrents montagneux.Histoire:Les contes et les légendes du passé racontent que lorsque le prélude de la fin de leur civilisation leur vint, les ancêtres des Sealgairí fuirent vers un refuge dans les contreforts des Géaránsioc, un refuge qu’ils estimaient pouvoir les protéger du cataclysme. Ce refuge, c’est Dúnuaimh. Éloigné des côtes et abrité dans le rock, le vaste réseau de cavernes leur permis de survivre en attendant que cessent les tremblements, que redescendent les eaux et que la terre s’assèche à nouveau. Les siècles passant, la connaissance de ce que fut l’ancien monde se perdit alors que les cicatrices du cataclysme s’estompaient. Pendant longtemps, les Boghdóirí, ainsi qu’ils se nommèrent, demeurèrent à proximité de Dúnuaimh, qui demeurait leur refuge et une forteresse presque imprenable en cas d’attaque. La forêt environnante était riche en gibier et une rivière coulait non loin. Tant que la population de ce jeune peuple restait peu élevée, les ressources des environs immédiats de Dúnuaimh parvenaient à se régénérer sans trop de peine, et la grande forêt, Mórforaoise, fut délaissée. Vivant au contact de la nature, un culte polythéisme, où celle-ci pris un rôle important, se développa auprès de la population.
Cependant, la population croissant, il devint nécessaire de s’étendre dans la Mórforaoise. Des explorateurs y furent envoyés et, la voie semblant sûre, un premier village forestier y fut fondé. Quelques années plus tard, c’est à ce même village que les Boghdóirí rencontrèrent pour la première fois des Lomáiní, les peuples sauvages. Si le premier contact avec eux se résuma à une brève escarmouche, il apparut bien vite aux Boghdóirí qu’ils devraient se battre pour survivre. Aux yeux des Lomáiní, la Mórforaoise était leur terre ancestrale, et aucun autre peuple ne pouvait y revendiquer la moindre parcelle. Rapidement, il fut nécessaire d’évacuer le village mais le mal était déjà fait : l’assaut des Lomáiní contre Dúnuaimh ne se fit pas attendre. Archers contre piquiers. Si la bataille fut rude, les caractéristiques défensives de Dúnuaimh furent, au final, en grande partie responsables de la victoire des Boghdóirí sur leurs opposants. Plusieurs des grands guerriers Lomáiní perdirent la vie au cours de cette bataille de Cath na Dúnuaimh Droichead (la bataille du pont de Dúnuaimh), ce qui permit l’établissement d’une trêve fragile entre les deux peuples.
 Les premières explorations des Boghdóirí dans la Mórforaoise
Ainsi, pendant quelques décennies, les Boghdóirí purent prospérer à nouveau et continuèrent à s’étendre dans Mórforaoise. Or, pendant ce temps, les Lomáiní n’oubliaient pas; ils récupéraient tranquillement de leurs pertes et se préparaient à nouveau. Le temps vint finalement où un de leurs grands chefs, Nuada, parvint à unifier les différents clans Lomáiní derrière le projet de reprendre les terres perdues au profit des Boghdóirí. Et ainsi eut lieu Dara Cath Droichead Dúnuaimh (la seconde bataille du pont de Dúnuaimh), au cours de laquelle les forces mieux préparées des Lomáiní forcèrent la majorité des guerriers Boghdóirí à se retrancher derrière les portes de Dúnuaimh. Les pertes les plus lourdes furent attribuées aux Boghdóirí qui se trouvaient dès lors dans une situation critique : Dúnuaimh assiégée, la terre récemment colonisée et l’essentielle de la population civile étaient désormais presque sans défense face aux raids des Lomáiní.Les Boghdóirí de la Mórforaoise, ainsi menacés, quittèrent leurs villages et se dispersèrent dans la Mórforaoise, sans attache et sans avenir, des bandes de nomades errants dans les bois afin de survivre et fuir.
Il est dit qu’un homme parvint néanmoins à s’échapper de Dara Cath Droichead Dúnuaimh et du siège de Dúnuaimh. C’était un guerrier et un chasseur du nom de Culainn. Survivant pendant quelques temps dans les bois de la Mórforaoise, il commença à attaquer des campements isolés des Lomáiní en utilisant des tactiques de chasseur, tant et si bien que ceux-ci, croyant avoir enfermés le gros des troupes, vinrent à douter de leur emprise réelle sur les terres des Boghdóirí. La rumeur s’étendit dans la Mórforaoise d’un homme fauve attaquant de nuit, un homme que nul ne peut entendre mais qui traque et attaque implacablement. Cette rumeur remonta le moral des Boghdóirí de la Mórforaoise et des groupes de résistants commencèrent à se former, des groupes de chasseurs, d’éleveurs, d’une poigné de guerrier et de trois fois rien de tanneurs et de charpentiers; leurs succès furent très relatifs, la plupart ne sachant pas ou peu se battre la résistance réelle se résumait à presque rien, et les défaites furent plus nombreuses que les victoires.
Un jour arriva où un de ces groupes croisa la route de Culainn. Il s’agissait des Sealgairí, menés par un dénommé Feren, trappeur de profession. Tous connaissaient la réputation de Culainn et tous souhaitaient le voir les rejoindre, mais c’était sans compter le désir de vengeance bien personnel de celui-ci qui n’avait pas encore digéré la défaite aux portes de Dúnuaimh. C’était un loup solitaire, et en loup solitaire il les quitta mais jamais ne les oublia. Car quand quelques temps furent passés et que le nombre de résistants diminua tant par désistement que par le trop grand nombre de défaites, un brin de sagesse lui vint et, se rappelant l’offre des Sealgairí, il partit à leur recherche. Par chance, ils avaient survécus là où plusieurs avaient disparus, et Feren lui offrit son poste de chef contre l’enseignement de ses tactiques à ses hommes et l’honneur d’être son second. Il leur enseigna à combattre en chasseur, à traquer l’humain comme on traque le cerf et à profiter du terrain pour effectuer des attaques-éclair.
Le baptême du feu de sa troupe eut lieu contre le campement Lomáiní de Meadhra; cette victoire, qui leur permit de libérer des Boghdóirí prisonniers, fut suivie de la lourde défaite au gué d’Ath Sionnach. Malgré tout, Culain resta confiant envers les compétences de sa troupe, et cette défaite fut suivie des victoires de Cath Claimhte et de Cath Sealeach; cette dernière, en coupant leurs voies de ravitaillement, permis de lever le siège de Dúnuaimh en obligeant les troupes des Lomáiní à retraiter vers leurs terres, à l’ouest du fleuve Fréimhe. Si la rencontre entre les gens de la troupe des Sealgairí et les Boghdóirí anciennement assiégés à Dúnuaimh fut l’occasion de célébrations, il apparaissait néanmoins pour certain qu’à moins d’une défaite majeure les Lomáiní reviendraient sur les terres Boghdóirí. Avec l’accord du Haut-conseil de Dúnuaimh, Culainn partit à la poursuite des guerriers Lomáiní et de leur roi, Nuada, avec ses Sealgairí et un contingent des guerriers de la forteresse. À marche forcée, ils partirent. Ils connaissaient bien ces terres, leurs ennemis moins, et ils les rattrapèrent donc rapidement.
Le jour de la bataille vint enfin, Cath na Sealgaire, la Bataille du Chasseur. Les troupes des Lomáiní étaient massées sur la rive Est du fleuve Fréimhe lorsque les Sealgairí de Culainn les rejoignirent. On dit que, allant avec ses éclaireurs pour voir le champ de bataille de ses propres yeux, Culainn aurait vu une femme nettoyant ses vêtements ensanglantés dans une crique peu avant la bataille, Morrigan, et qu’il aurait ainsi su que celle-ci lui serait fatale. Néanmoins, il n’hésita pas à y participer, conscient qu’un désistement de sa part causerait la perte de sa troupe, troupe qui constituait alors le dernier espoir des Boghdóirí de vaincre les Lomáiní. La bataille commença par une série d’escarmouches destinées à disperser les forces de l’ennemi, les Sealgairí retraitant dès lors que des renforts ennemis arrivaient. Ainsi dispersés, les Lomáiní constituaient une proie moins redoutable et il fut possible aux Sealgairí et aux troupes de Dúnuaimh de tenter une ultime attaque frontale contre le flanc droit de la formation ennemie, Culainn à la tête de sa troupe. Le combat fut rude, mais tourna rapidement à l’avantage des Sealgairí. Lorsque vint la fin de celle-ci, Culainn, qui se frayait un passage au travers des rangs des Lomáiní avec un groupe de Sealgairí afin de combattre Nuada, fut atteint de trois flèches successives qui le blessèrent grièvement. Ses compagnons ne parvinrent à le sortir de cette fâcheuse position qu’avec beaucoup de difficulté. Ils l’étendirent au pied d’un chêne sinueux alors que la bataille s’achevait, Nuada le Lomáiní sonnant enfin la retraite. Dans son agonie, entourée des siens et son épée ensanglantée du sang de ses ennemis, il rejoignit la mort dans les bras de Morrigan, déesse de la guerre et de la fatalité chez son peuple.
 Mort de Culainn, le héro des Sealgairí, dans les bras de Morrigan
À l’issue de cette bataille, les Sealgairí, désormais menés à nouveau par Feren (qui avait beaucoup appris des tactiques de Culainn), parvinrent à repousser les débris de l’armée des Lomáiní dans le Géaránsioc. À suivre...Croyances:
► Afficher spoilerLes croyances des Sealgairí ont toujours été proches de la nature. Si l'animisme prévalait autrefois, le temps vint où ils développèrent un culte polythéiste complet. Les deux grandes divinités de leur panthéon sont Kernunnos (le Dieu-Cerf) et Kerridwen (la Déesse), qui sont des divinités de la nature; alors que Kernunnos représente la partie mâle et est associé à la chasse et aux animaux, Kerridwen représente la partie femelle et est dédiée à l'agriculture, à la cueillette et aux végétaux. D'autres divinités complètent ce panthéon, dont Morrigan (guerre, destinée), Brigid (arts, médecine), ... Kernunnos, le dieu cerf Kerridwen, la déesse mère Morrigan, la guerrière et la maîtresse du destin --Quel est son organisation sociale (caste, hiérarchie sociale, communisme, égalitarisme, etc.) et/ou politique (aristocratie, féodalisme, démocratie, oligarchie, théocratie, etc.)?
► Afficher spoilerLe peuple des Sealgairí est séparé entre 5 Cités-États dont la souveraineté s'étends aux quelques villages environnants. Jusqu'à présent, face à la menace ancienne et désormais presque révolue des peuples barbares et à la méconnaissance d'un autre peuple civilisé, ces Cités-États ont formé une confédération. Nul doute que la récente et accidentelle découverte des Abhainnaos (Peuple des Rivières (Souricette)) poussera au renforcement des liens les unissant.La société, fortement militarisée, est séparée en trois classes sociales: les Réguliers, les Réservistes et les Civils. Cette organisation sociale fut développée en réponse aux attaques fréquentes des Lomáiní, celle-ci permettant d'avoir en permanence une population dans la capacité de prendre les armes tout en restant fonctionnelle en temps de paix.
- Les Réguliers: Il s'agit des individus, hommes et femmes, qui, à partir de l'âge de 12 ans, ont pour occupation principale l'entrainement aux armes, les patrouilles et le combat. En cas de nécessité (moissons, etc.) et en temps de paix, ils peuvent être redéployés pour aider les Réservistes. En temps de guerre, ils constituent les troupes d'élite des Sealgairí et l'essentiel des officiers des Réservistes.
- Les Réservistes: Il s'agit des individus, hommes et femmes, qui, à partir de l'âge de 12 ans, ont pour occupation principale la récolte des matières premières, la fabrication, la création tant artistique que scientifique. L'entrainement aux armes fait partis de leur quotidien, bien que de manière moins importante que pour les Réguliers; on parle ici d'une heure à chaque matin. Une majorité de la population étant Réserviste, ils constituent le coeur de l'armée Sealgairí.
- Les Civils: Il s'agit des individus ayant moins de 12 ans, des femmes enceintes, des individus trop grièvement blessés pour continuer l'entrainement aux armes et des vieillards les plus mal en point. En bref, même si certains enseignent et d'autres apprennent ou en sont de manière temporaire ou permanente dans l'incapacité, leur point commun est qu'ils ne portent pas les armes.
Une quatrième classe sociale, les Étrangers, verra peut-être le jour plus tard. Il s'agit d'un système communiste; chacun a le droit et la possibilité de remplir ses besoins essentiels. il n'y a pas de monnaie et les biens sont à tous (à l'exception de ce qu'on peut porter sur soi et dans un sac à dos (armes, armure, vêtements, quelques outils, violon ou luth, quelques babioles, ...)); ça permet de déplacer les populations plus aisément en cas d'attaque et les besoins de chacun sont remplis sans empiéter sur la nature. Un commerce communal a lieu entre les Cités-États et leurs villages afin de combler les besoins de chacun par une juste répartition des surplus pour combler les manques. Ce commerce s'effectue selon le troc.À modifier... --Quelle est sa culture (écriture, art, science)? Cités-États:
► Afficher spoiler Le pont de pierre de Dúnuaimh Vue d'intérieur des tunnels de DúnuaimhDúnuaimh :Dúnuaimh est la première Cité-État des Sealgairí. L’entrée principale s’ouvre sur une rivière au débit torrentiel que traverse un pont de pierre. Au-delà de celui-ci, c’est la forêt dense. Contrairement aux 4 autres Cités-État, elle est construite dans le rock des contreforts des Géaránsioc, en bordure de Mórforaoise. Il s’agit d’un vaste réseau de tunnels, un complexe souterrain des Anciens qui fut tout simplement aménagé pour accueillir la population qui y vit. Depuis longtemps, les Sealgairí en ont oublié la fonction originelle, se contentant de s’en servir comme habitat et comme forteresse. De nombreux mystères entourent ces souterrains et les Sealgairí présents n’en occupent encore qu’une toute petite partie. Elle constitue le centre historique et, en bien des égards, le coeur politique des Sealgairí malgré ses divergences d'idées avec la Cité-État de Saileach. En outre, c'est là que ce réunit le Haut-Commandement lors de ses rencontres. Maoldúin :Maoldúin a été la seconde Cité-État des Sealgairí, fondée suite à la Cogadh dé Sealgaire (la Guerre du Chasseur). Cité la plus orientale du Tír Sealgairí, elle fut construite sur le bord d’une rivière prenant sa source dans le Géaránsioc. Elle est construite entièrement en bois, dans le style originel de ce qui devait devenir le style architectural typique des autres Cité-États sealgairí (de grandes arches, des bâtiments communautaires, un souci de l’harmonie architecturale avec la nature, le maintien du couvert forestier par-dessus la cité et la proximité immédiate des cultures agroforestières avec la Cité). On y retrouve également une importante mine de fer qui approvisionne l’essentiel des forges des 5 Cités-États; l’art de la forge, le travail des métaux et l’industrie (pour peu que ça y ressemble) y est également le mieux développé. Cette Cité est depuis longtemps le plus grand allié politique de Dúnuaimh. Saileach :Saileach fut fondée également suite à la Cogadh dé Sealgaire, à l’instar de Maoldúin mais bien plus tard. Elle fut construite sur le bord d’un lac de la Mórforaoise, plein de brume et bordé de saules. L’agroforesterie occupe une place prépondérante dans son économie (les pommes et le cidre y sont des spécialités), de même que les arts et la science. Située loin des zones de conflits, c’est la cité la moins militarisée (la proportion de Réguliers y est la plus basse, juste de 5%). Dû à son grand éloignement avec Dúnuaimh, une divergence de pensée politique y fut développée, plus indépendante face à la cité des origines. De fait, lors des rencontres du Haut-Commandement, les Commandants de Dúnuaimh et de Saileach sont souvent opposés. Vue d'une partie de LámharianLámharian:Lámharian fut fondée immédiatement après la Dara Cogadh (Seconde guerre), sur le bord d’une rivière coulant d’un ensemble de collines au cœur de la Mórforaoise. On y retrouve quelques gisements de minerai, dont du fer, mais rien de comparable à ce qu’on retrouve à Maoldúin. Le terrain y présente des caractéristiques défensives intéressantes et de nombreuses essences de bois recherchés pour la menuiserie et l’ébénisterie s’y retrouvent en abondance. De fait, on y retrouve les meilleurs artisans du bois et les meilleurs charpentiers sealgairí. Fortement éloignée de Dúnuaimh à l’instar de Saileach (la majorité premiers habitants de cette Cité étaient également originaires de Saileach), les commandants de cette Cité ont tendance à rejoindre le camp de cette dernière Cité. Cité d'Ardeaglais vue de la rive opposée du fleuve FréimheArdeaglais :Ardeaglais est la dernière des Cité-État des Sealgairí. Fondée dans le même temps que Lámharian, elle veille sur les vestiges du champ de bataille de Cath na Sealgaire et sur le tertre de Culainn, sur le bord du fleuve Fréimhe. C’est une citadelle forestière; elle fut créée à l’origine pour veiller sur un retour éventuel des Lomáiní avant que l’avant-poste de Bhruacha ne vienne combler ce rôle. Elle demeure néanmoins le point de partance de la plupart des patrouilles envoyées dans le Géarániarthar et dans l’ouest sealgairín du Géaránsioc. La culture militaire y occupe une place plus importante que chez les autres Cités, pour peu que ça soit possible; en outre, la proportion de Réguliers y est la plus élevée et ceux-ci sont les plus disciplinés. Lors des rencontres du Haut-Commandement, l’avis de la Cité est partagé entre le camp de Dúnuaimh et de Saileach. Néanmoins, ses Commandants étant les plus au fait des rapports de patrouilles et des faits d’armes, son avis a beaucoup de poids lorsqu’il est état de questions militaires. L’avant-poste de Bhruacha :L’avant-poste de Bhruacha fut créé longtemps après la Dara Cogadh afin de veiller sur un retour éventuel des Lomaini. À vrai dire, il s’agit plus d’un ensemble de bâtiments abandonnés la plupart du temps mais qui seraient destinés à accueillir un fort contingent militaire en cas de guerre. Une petite garnison de 100 Réguliers (des patrouilleurs pour l’essentiel) s’y maintient néanmoins en permanence. Il n’y a aucune activité économique (elle est approvisionnée par Ardeagleais et Dúnuaimh via le fleuve Fréimhe) et elle n’a aucun poids politique.  ** Une carte serait chaudement recommandée pour avoir une idée de la localisation de vos villes --Quelles sont ses Ressources? --Qu'est-ce qui distingue physiquement votre peuple des autres peuples?Les Sealgairí sont pour la plupart sveltes et athlétiques, conséquence de l'entrainement aux armes qu'ils s'imposent quotidiennement dans l'éventualité d'un retour en force des peuples barbares. Ils mesurent près de 1m70. L'importance du couvert végétal ayant pour effet de limiter la luminosité dans les bois, leur peau moins exposée à la lumière est devenue plus pâle. Leurs cheveux, dont la couleur varie entre le brun et le roux, sont souvent laissés longs tant pour les hommes que les femmes. On peut néanmoins percevoir une absence de pilosité au niveau du menton. Enfin, le port de tatouages sur le corps, dont au visage, est un trait culturel (et physique) remarquable des Sealgairí. Il s'agit généralement de motifs simples, constitués de lignes et de points. Si certains d'entre eux ont une signification personnelle, d'autres sont typiques des différentes Cités-États; par un bref regard, les Sealgairí sont capables de déterminer l'origine de leur interlocuteur.Techs et Sciences:Enfin, il faudrait que vous envoyez votre liste de Technologies et de Sciences à votre co-MJ, de préférence au Tour-par-Tour afin de permettre de vérifier plus aisément si celles-ci suivent un cheminement technologique et scientifique réaliste et cohérent. À continuer...Techs :
► Afficher spoilerBois: Travail du bois - Charpenterie - Menuiserie – Ébénisterie, Sculpture du bois, Lutherie, Conservation du bois (vernis à base d’huile de lin) Métallurgie : Four – Fonte – Forge - Travail du fer - Charbon de bois - Soufflet - Haut-fourneau - Travail de l'acier Social: Sédentarité, Code de loi, Éducation Textile: Dépeçage - Tannage - Couture, Tissage Armée: Archerie - Arc composite, Entrainement de la population, Organisation militaire (Réguliers, Réservistes), Hiérarchie militaire, Camouflage, Armure (en cuir), Épée, Arme améliorée (cimeterre, kukri), Combat à mains nues (Jujitsu) - Combat commando (close combat) Agriculture et élevage: Agriculture - Sylviculture – Agroforesterie, Compagnonnage végétal, Élevage Divers: Pigments, Parchemin, Poterie Transport et communications: Messager animal (hiboux), Navigation basique, Sentiers Verre: Verre Hygiène: Conservation des aliments (séchage), Hygiène Procédés chimiques: Alcool – Distillation Exploitation des ressources: Minage Sciences:
► Afficher spoilerPolitique: Cité-État, Confédération, Méritocratie Armée: Art de la guerre (guérilla) Religion: Animisme - Polythéisme Art écrit: Écriture, Sagas Art: Musique (celtique, paganfolk) Architecture: Architecture, Arche Mathématiques : Mathématiques basiques, Géométrie Géomatique : Astronomie, Cartographie Biologie: Botanique, Zoologie, Hybridation, Interactions biologiques (symbiose, mutualisme, compétition, prédation) Médecine: Herboristerie – Phytothérapie, Toxicologie (poisons) Social : Isonomie, Communisme Économie: Commerce communal Ressources:
► Afficher spoiler--Végétal: Chêne (x2), Pommier (x2), Lin, Épeautre, Chicorée (par Botanique) --Animal: Cerf, Renard, Lièvre, Corbeaux (par Zoologie) --Minerai: Fer --Minéral: ---
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