Liqueur de châtaignes pour Adrien
et chocolat chaud pour Cynthia

Le moins qu'on puisse dire, c'est que le service est soigné ...

L'un et l'autre savourent.

Adrien : " Merci pour ce dîner. Vous me semblez plein d'admiration et de respect pour le duc. "

Cynthia: " Merci madame, ce chocolat chaud est délicieux. Je ne doute pas que la gestion de ce domaine vous prenne énormément de temps. "

Adrien et Cynthia essayent de tirer les vers du nez de leurs interlocuteurs ; commérages

Dans un premier temps, Cynthia utilise des voies moins directes avec l'hôtesse. Dans un second temps, si cela ne fonctionne pas, elle met cartes sur tables " En fait madame, j'ai l'impression que vous n'avez qu'une estime relative pour le duc, ou tout au moins que vous êtes moins enthousiaste que vôtre époux. Par ailleurs, j'ai l'impression que vous pensez que celui-ci exagère sa proximité avec le duc? "


Adrien : 71 % : Morgan Kane lance 1d100 et obtient 81 (81)

Cynthia : 45 % + étiquette 10 % = 55 % Morgan Kane lance 1d100 et obtient 64 (64) et si besoin : Morgan Kane lance 1d100 et obtient 18 (18)

La voie directe, c'est quand même plus efficace !
Cynthia finit par comprendre :
Votre hôtesse est noble, de toutes ses ascendances, et de bien plus longue lignée que son époux.
Le château et son domaine viennent de la famille de Madame.
Monsieur trouve son modeste titre personnel moins prestigieux que celui de sa femme, .

Il s’enorgueillit donc par procuration du prestige inégalable du Duc. « Être de ses vassaux légitimes » le remplit de fierté.
Ce que Madame trouve un peu puéril de la part de son époux.

Mais Madame admire sincèrement le Duc. Pour l'homme « bien » qu'il est.
Ni pour ses titres, ni pour son opulence, et presque pas pour son charisme naturel.
Non, simplement pour l'homme gentil, courtois, intelligent qu'il est. C'est tout.

Eustache complimente nos hôtes pour ce dessert savoureux et, à cette heure-ci, prend bien volontiers un chocolat.

Il remercie également Monsieur Dufour pour ses judicieux conseils. Il sera donc suiveur... D'autant plus qu'il ne sait même pas monter à cheval ! Il en rit avec tout le monde.

« Décidément, notre invitation est bien mystérieuse... Et le fait que nous le soyons, et pas vous, l'est encore plus à mes yeux. En tout cas, je trouve cela fort dommage car j'aurais eu plaisir à vous retrouver là-bas. La conversation avec vous est si agréable et votre accueil si chaleureux... »

Après cette fin de soirée feutrée, il est temps d'aller se coucher....

Adrien a laissé Eustache choisir.

dimanche 28 octobre 1900, tôt matin

Un courant d'air frais et parfumé vous réveille, portant dans la chambre le chant des oiseaux ...
Un feu tout neuf a été allumé dans la cheminée et une lampe à main, déposée allumée sur le linteau.
Tout en discrétion, et sans vous réveiller directement, quelqu'un s'est chargé de vous aider à vous souvenir que vous avez un planning pour la journée ...

Nous nous préparons et nous descendons petit déjeuner.

Eustache étant seul, il prend bien évidemment la plus petite chambre.

Il me semble que c'est celle du haut sur les photos.

Eustache se régale avec ce petit déjeuner...

« Décidément, nous avons été reçu de façon incroyable ! », dit-il a Adrien et à sa charmante épouse.

Il se prépare ensuite à partir rapidement, pour ne pas faire attendre notre chauffeur, mais prend le temps de remercier nos hôtes le plus chaleureusement possible. Il leur témoigne toute sa reconnaissance pour ce séjour formidable et leur indique que s'ils viennent à Paris et ont besoin d'un point de chute, ils ne doivent surtout pas hésiter à venir chez lui. Il les accueillera bien volontiers, en essayant de se montrer à la hauteur de leur générosité...

Il remercie également le majordome ainsi que tous les serviteurs qu'ils croisent pour leur travail impeccable.

dimanche 28 octobre 1900, 09h30


La voiture est rapidement chargée de tous les bagages.

« Messieurs, Dame .... »
Paul tient la porte ouverte pour que tous puissent prendre place
avant de la refermer sur le dernier entré, il précise :
« Vous me pardonnerez si nous allons un peu vite,
Monsieur le Duc vous attend. »

dimanche 28 octobre 1900, 10h30, les monts d'Ambazac ...

Dommage que vous n'ayez pas le temps d'admirer les paysages

dimanche 28 octobre 1900, 12h15 ...