Pendant que le commando part en direction du lieu où serait d'autre survivants avec l'aide du gamin, Fionna reste dans l'immeuble à chercher des bières et tout autre alcool permettant de passer un bon moment.

Rapidement, l'enfant amène les membres du commando à l'immeuble barricadé et alors qu'ils arrivent juste devant l'entrée, une jeune femme en sort. Elle court vers le gamin tout en pleurant et montrant sa satisfaction de le voir

« Elias, mon enfant !!!!
Ne me refait plus jamais cela
Je t'avais dit de ne pas partir seul et de ne pas t'éloigner »

Elle se tourne ensuite vers vous

« Merci beaucoup
Vous venez de sauver mon enfant
C'est la providence qui vous amène »

Juste après, d'autres survivants sortent et tous semblent ravis de vous voir.

Pendant ce temps là, Fionna ne tarde pas à trouver son bonheur et ramasse quelques packs de bières à sa grande satisfaction.

Après ce moment d'extrême tension où il a failli mourrir, Efrim est ravi de voir des sourires sur le visage de ces inconnus. Ne pouvant pas les laisser à leur sort, il demande :

« - Comment vous allez vous en sortir ici ? Vous avez un endroit où vous réfugier ? »

Appercevant Fiona partir à la recherche de boissons, Carolina se tourne dans sa direction avant de se raviser et de ramener l'enfant à sa mère. Une fois arrivé, elle est rassuré qu'ils puissent se retrouver sans encombres mais elle se met à douter elle aussi

« depuis combien de temps êtes vous ici ?
Avez-vous un endroit pour vous réfugier ?
On va bientôt nous récupérer et je demanderai à ce que l'on vienne vous chercher vous aussi »

Ethan se retint de répondre Ce n'est pas la Providence, c'est OneWorld., mais il conspuait l'esprit corporate.
Il attendit que l'enfant soit rendu à sa mère, regardant nerveusement sa montre. Oui, il avait une montre à l'ancienne.

Fionna ouvre plusieurs bières pour ses amis.

Morgane est heureuse de voir le petit retrouver ça mère, mais elle reste attentive et observe les alentours, car le bruit va en rameuter d’autre. « Faut ce bouger! D’autres mordeurs vont ce pointer avec le bruit qu’on a fait. »

Un homme sort de l'entrée de l'immeuble pout rejoindre la jeune femme et prend son bras avec sa main tout en regardant avec un air dubitatif Fionna distribuer des bières.


« Viens Ashley, ils ont raison
Il ne faut pas trainer ici »

Il se tourne vers vous ensuite

« Je vous remercie pour votre aide. Nous sommes une dizaine à l'intérieur de ce bâtiment et avons de quoi nous subvenir ici pendant un certain temps.
Si vous pouvez nous faire parvenir des secours, nous en serons grandement reconnaissant.
Mais ne restez pas ici.
effectivement, vous avez surement attiré plusieurs infectés avec tout ce bruit. »

« Ne vous inquiétez pas, on vous enverra des secours dés que nous serons arrivé »

Carolina se tourne vers ses compagnons

« Allons y sans tarder.
Il ne nous reste plus beaucoup de temps »

« Bonne chance à vous! Et ne le laissez plus ce sauver ainsi. »

Morgane tir sur le chandail de son frère pour qu’il la suive. Il est clair qu’elle veut maintenant le protéger et le traîner prêt de lui.

Lorsque Fionna tend une bière à Ethan, il lui rend un regard désapprobateur.

« Jamais pendant le service. »

Puis il suit Carolina, histoire d'évacuer au plus vite.

Haussement d'épaules envers les autres, en buvant une bière, Fionna suit les autres.

Ne s'attardant pas sur Fiona qui prend le temps de boire une bière, Efrim s'empresse de suivre sa soeur. Il fait un signe aux survivants :

« - Comme Lexi l'a dit, nous allons vous envoyer des renforts pour vous permettre de vous échapper d'ici. »

Puis il se tourne vers Lexi :

« - Passe devant, nous te suivons. »

Alors que le commando repart, laissant les réfugiés sur place, ils promettent de leur envoyer des secours dès que possible. Fionna, un peu déçue qu'Ethan refuse la bière qu'elle lui propose, continue son chemin tout en sirotant la sienne en compagnie d'Efrim. Le trajet au milieu de cette ville en grande partie détruite par le bombardement au napalm dure environ une heure avant qu'ils n'atteignent l'hôpital.

Leur parcours à travers la ville est un véritable spectacle de destruction. Des bâtiments en ruine, des débris jonchant les rues, des flammes encore visibles ici et là, tout rappelle l'horreur du récent bombardement. Les rues autrefois animées sont désormais désertes, à l'exception des quelques âmes errantes qui errent dans les décombres. Tout le monde avance lentement, contournant les obstacles, évitant les zones les plus dangereuses où les infectés pourraient encore se cacher.

À mesure qu'ils s'approchent de l'hôpital, l'atmosphère devient encore plus oppressante. Les murs décrépits de l'établissement médical témoignent des ravages du virus et des affrontements qui ont eu lieu dans ses couloirs. Des traces de sang maculent le sol, des fenêtres brisées laissent entrevoir l'intérieur dévasté. C'est un tableau d'horreur qui s'offre à eux, mais ils avancent avec détermination, leur mission étant plus importante que jamais.

Une fois arrivés au toit de l'hôpital, l'hélicoptère arrive comme prévu à l'heure convenue, et tous sont évacués avec la scientifique qu'ils ont sauvée. Une fois arrivés à la base, la scientifique est aussitôt amenée à l'écart avec tous les documents qu'ils ont récupérés, et le sergent Malonne les rejoint pour les féliciter à sa manière.

Le sergent Malonne, un homme robuste au visage buriné par les combats, regarde son équipe avec fierté mêlée d'une pointe de sarcasme. Il se tourne vers eux, ses traits durs trahissant son autorité incontestable.

« Mes cailles, vous avez fait du bon boulot aujourd'hui.
Vous avez risqué vos peaux pour sauver cette scientifique et mettre la main sur ces documents cruciaux. C'est comme ça qu'on fait les choses ici, pas de quartier pour les faibles.
Maintenant, on va déchiffrer ces documents et trouver un moyen de mettre fin à cette foutue épidémie une bonne fois pour toutes.
Vous êtes prêts à vous remettre au travail ou vous avez besoin d'un peu de repos, bande de mollassons ? »

Morgane voit bien qu’il aurait été plus facile de passer par la rue. « Je vous l’avais dit que la rue était une meilleur option que les égouts! »

Elle est soulagé quand l’hélicoptère arrive pour les transporter. Après le débriefing, elle demande ma permission de parler.

« Sergent! Je demande la permission de participer à l’équipe qui va aller sauver le groupe que nous avons rencontrés. Ils étaient très compétents et apte à nous aider. »